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مفاجأة (مكتبة) القواعد الأساسية للغة الفرنسية اهداء منى ليكوا كلكوا Empty مفاجأة (مكتبة) القواعد الأساسية للغة الفرنسية اهداء منى ليكوا كلكوا

الإثنين يوليو 05, 2010 6:57 am
السلام عليكم ورحمة الله وبركاتة
أولا..عاملين اية فى الجامعة
موش بخير والحمدلله

ثانيا...أنا انهاردة جايب
معايا مفاجأة كبيرة لكل طلبة اداب لغة فرنسية عارفين اية كتاب القواعد
الاساسية فى اللغة الفرنسية ايوة كتاب القواعد الاساسية للغة الفرنسية ودة
بس علشان خاطر عيونكم
مفاجأة (مكتبة) القواعد الأساسية للغة الفرنسية اهداء منى ليكوا كلكوا 10sb

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أولا.......
.....................
السلام
عليكم ورحمة الله وبركاته


طالبات و طلاب كلية الاداب قسم
اللغة الفرنسية تفضلوا بقراءة هذة

الموسوعة
الجميلة فى اللغة الفرنسية لانة بدون معرفة القواعد لن نتمكن اطلاقا من
التحدث بشكل صحيح فى اللغة الفرنسية وأيضا لن نتمكن من كتابة أى جملة
صحصيحة أطلاقا فى اللغة الفرنسية مع ارق امنياتى بقضاء وقت سعيد مع هذة
المذكرة

مفاجأة (مكتبة) القواعد الأساسية للغة الفرنسية اهداء منى ليكوا كلكوا 10sb


Les essentielles règles
grammaticales et orthographiques
du français

Préparé par
HAISOAM)
Un Etudiant Au Department de Francais ala Faculte de
Lettre








Pour plus d'informations,veuillez nous contacter sur l'adresse
suivante:


Remarque:Toute utilisation commerciale de ce livre est strictement
interdite.



Table des
matières

( pour accéder directement à la page demandée,cliquez
le lien en pressant CTRL )
La conjugaison
Les groupes
Les verbes du troisième groupe
Les modes
Les voix
Les verbes en -éer
Les verbes en -ger
Les verbes en -guer et -quer
Arguer
Les verbes en -ier, -ouer et -uer
Les verbes en -cer
Les verbes en -ecer et -écer
Le verbe haïr
Les verbes en -aître et en -oître
La réforme de 1990
Le verbe croître
Les verbes clore, gésir et plaire
Règle générale d'accentuation
Verbes avec un e muet
Verbes avec le préfixe "dé"
Verbes à la forme interrogative
Règles orthographiques :
Le tréma
La cédille
Le trait d'union dans les questions
La forme interrogative soutenue
Les accords :
Accord avec le sujet : règle générale
Accords difficiles avec un sujet
Accords difficiles avec plusieurs sujets
Accord à la forme pronominale
Accord avec le sujet
Verbes de sens réfléchi et de sens réciproque
Verbes pronominaux suivis d'un infinitif
Accord avec le pronom on
Formation des temps :
Emploi des temps :
Utilisation de l'indicatif
Utilisation du présent de l'indicatif
Utilisation du futur
Utilisation du subjonctif
L'imparfait du subjonctif
Utilisation de l'impératif
Les homophones :
Différence entre a et à
Différence entre et / est
Différence entre s'est / c'est
Différence entre roder et rôder
Le pluriel :
Les couleurs
Le pluriel des jours de la semaine
La ponctuation :
Le point
Le point-virgule
La virgule
Les deux-points
Le point d'interrogation
Le point d'exclamation
Les points de suspension
Les guillemets
Le tiret
Incises (tirets moyens)
La majuscule
Les parenthèses
La typographie
Les signes simples
Les signes doubles
Les guillemets à la française
Les parenthèses et les crochets
Le trait d'union et l'apostrophe
Qu'est-ce que la conjugaison ?
La conjugaison est l'ensemble des formes que peut prendre un verbe.
Quant au verbe, il s'agit d'un mot qui exprime soit une action faite ou
subie par un sujet, soit l'existence ou l'état du sujet soit enfin
l'union de l'attribut du sujet. Exemple : il fait du violon.
Toujours dans les définitions, la locution verbale est une réunion de
mots qui exprime une idée unique et joue le rôle d'un verbe : donner
lieu, avoir envie, prendre garde, faire savoir...

Le mode, le temps et la personne déterminent chacune des formes que peut
prendre un verbe.
En français, il existe 4 modes :
L'indicatif exprime des actions et des vérités générales.
Le subjonctif exprime un souhait, une volonté ou un conseil.
Le conditionnel exprime une condition.
L'impératif exprime un ordre.

Chacun de ses modes est subdivisé en temps. On distingue les temps
simples des temps composés. Un temps composé se construit toujours avec
un auxiliaire puis le verbe au participe passé.
Enfin, chaque temps comporte 6 personnes repérées par les pronoms
personnels je, tu, il/elle/on, nous, vous, ils/elles.
Il existe également des formes impersonnelles comme le participe et
infinitif. Au total, pour chaque verbe, il peut exister près d'une
centaine de formes possibles. Mais pas de panique, la plupart se
ressemblent beaucoup.
Les groupes
En français, les verbes peuvent êtres classés dans trois groupes
différents.
PREMIER GROUPE : les verbes dont l'INFINITIF se termine en -ER
sauf ALLER.
Particularité: il est le plus régulier de tous les groupes parce que son
unique radical ne subit pas de modification au cours de la conjugaison:
AIMER: aim-e; aim-ons; aim-ent). La difficulté de la conjugaison porte
surtout sur les modifications orthographiques pour garder une bonne
sonorité. C'est dans ce groupe que se créent les nouveaux verbes. On
compte plus de 6000 verbes dans ce groupe.
DEUXIÈME GROUPE : ceux qui terminent en -IR (ces
verbes ont l'infinitif en -IR et le participe présent en -ISSANT).
Il s'agit aussi d'un groupe régulier, puisque tous les verbes qu'il
englobe se conjuguent en utilisant toujours de la même manière leur
double radical : l'un pour les personnes du singulier et l'autre pour
les personnes du pluriel : fin-is; finiss-ons). Avec le premier groupe,
c'est le second groupe de référence pour la création des nouveaux verbes
mais en moindre quantité. Il contient environ 300 verbes.
TROISIÈME GROUPE : appartiennent à ce groupe tous les
verbes irréguliers. On parle de conjugaison morte au sein de ce groupe
car plus aucun verbe ne se crée dans ce groupe. Au contraire même
puisque certains de ces verbes tendent à devenir obsolètes. On peut
subdiviser ce groupe en différents sous-groupes :
1. Les verbes terminés en -IR (comme MOURIR : mour-ant; mour-ons);
2. Les verbes terminés en -OIR (comme RECEVOIR : recev-ant; recev-ons);
3. Les verbes terminés en -RE (comme RENDRE : rend-ant; rend-ons);
4. ALLER qui, malgré sa terminaison, est du troisième groupe.
On notera qu'il existe également deux auxiliaires en français (avoir et
être) qui ne se classent dans aucun des groupes précédents.
Les verbes du troisième groupe
Les verbes du troisième groupe sont un ensemble fini de verbes,
c'est-à-dire que même s'ils sont presque tous irréguliers, il n'y en a
plus de nouveau. Mais il est important de les connaître car il s'agit
souvent de verbes extrêmement fréquents. Voici l'ensemble des verbes du
troisième groupe. On marque en gras les modèles à connaître :
Sous-groupe 1
tenir - s'abstenir - appartenir - contenir - détenir - entretenir
- maintenir - obtenir - retenir - soutenir - venir - avenir -
advenir - bienvenir - circonvenir - contrevenir - convenir - devenir -
disconvenir - intervenir - obvenir - parvenir - prévenir - provenir -
redevenir - se ressouvenir - revenir - se souvenir - subvenir - survenir
- acquérir - conquérir - s'enquérir - quérir - reconquérir -
requérir - sentir - consentir - pressentir - ressentir - mentir -
démentir - partir - départir - repartir - se repentir - sortir -
ressortir - vêtir - dévêtir - revêtir - survêtir - ouvrir -
couvrir - découvrir - redécouvrir - recouvrir - entrouvrir -
rentrouvrir - rouvrir - offrir - souffrir - cueillir - accueillir
- recueillir - assaillir - saillir - tressalllir - défaillir - faillir
- bouillir - débouillir - dormir - endormir - rendormir -
courir - accourir - concourir - discourir - encourir - parcourir
- recourir - secourir - mourir - servir - desservir -
resservir - fuir - s'enfuir - gésir
NB : asservir, répartir et ressortir dans le sens de être du
ressort de sont des verbes du deuxième groupe qui se conjuguent sur le
modèle de finir.
Sous-groupe 2
recevoir - apercevoir - concevoir - décevoir - percevoir - voir
- entrevoir - prévoir - revoir - pourvoir - dépourvoir - savoir
- devoir - redevoir - pouvoir - mouvoir - émouvoir
- promouvoir - pleuvoir - repleuvoir - falloir - valoir
- équivaloir - prévaloir - revaloir - vouloir - asseoir -
rasseoir - seoir - messeoir - surseoir - choir
- déchoir
Sous-groupe 4
aller
Les modes
On appelle mode, la manière dont le verbe exprime l'état ou l'action. En
français, on distingue deux types de mode :

- les modes personnels : ils sont introduits par un pronom personnel,
je, tu, il etc.
- les modes impersonnels : tous les modes n'ayant pas de pronom
personnel : l'infinitif, le participe et le gérondif.
Les modes personnels sont au nombre de quatre :

- L'indicatif exprime des actions et des vérités générales.
- Le subjonctif exprime un souhait, une volonté ou un conseil.
- Le conditionnel exprime une condition.
- L'impératif exprime un ordre.
Certaines grammaires tendent à rattacher le conditionnel à l'indicatif
et ne le considèrent pas comme un mode à part entière. C'est vrai que
sur la forme et le sens, on peut le rapprocher de l'indicatif. Pour des
raisons de tradition, Le Conjugueur présente le conditionnel comme un
mode à part entière.
Quant à l'impératif, il comporte une flexion de personne incomplète car
il ne se forme pas avec toutes les personnes. "je", "il" et "ils" sont
les grands absents de l'impératif.
Les modes impersonnels sont au nombre de trois : l'infinitif, le
participe et le gérondif. Ils permettent de conférer au verbe des
emplois réservés à d'autres classes tels que les noms ou les adjectifs.
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الإثنين يوليو 05, 2010 6:57 am
Les auxiliaires
Il existe en français deux auxiliaires : avoir et être. Ces deux verbes
n'appartiennent à aucun groupe car leur rôle dans la conjugaison est
différent. C'est pourquoi on les classe parmi les auxiliaires.
En effet, ils peuvent être utilisés comme un verbe à part entière.
Être a alors soit le sens d'exister Et la lumière fut!
soit il permet d'introduire un attribut : Il est fort. Quant à
avoir, il s'emploie dans le sens de posséder : j'ai une voiture.
Mais être et avoir ont également un rôle d'auxiliaire c'est-à-dire
qu'ils servent à constituer certaines formes de la conjugaison d'un
autre verbe. Ils permettent d'exprimer toutes les notions liées à la
voix active ou passive et aux formes composées : je suis venu quand
il a dansé
.
Les semi-auxiliaires
On définit généralement sept verbes comme étant des semi-auxiliaires. Il
s'agit des verbes aller, venir, devoir, pouvoir, savoir, vouloir et
faire
. Il ne s'agit pas à proprement parler d'un groupe à part
entière mais plutôt de verbes qui, une fois combiné avec un autre verbe à
l'infinitif ou au gérondif, peuvent perdre leur sens premier pour
apporter des nuances dans une phrase.
On peut regrouper les semi-auxiliaires en trois catégories :
aller et venir : lorsqu'ils sont suivis d'un infinitif, ils
servent à modifier la valeur temporaire. On parle de périphrase verbale
temporelle. On obtient ainsi le futur proche (je vais partir) et
le passé proche (je viens de partir)
devoir, pouvoir, savoir et vouloir : ces verbes servent à
"modaliser" le verbe à l'infinitif qui le suit. On parle de périphrase
verbale modale.
- devoir indique la nécessité et parfois la probabilité : je
dois travailler

- pouvoir marque la possibilité : il ne peut pas écrire
- savoir marque la compétence : il sait lire
- vouloir marque la volonté : il veut partir en voyage

faire : lorsqu'il est suivi d'un infinitif, faire modifie le sens
qui le suit afin de signifier que l'action n'est pas faite par le sujet
mais par quelqu'un d'autre. On parle de périphrase verbale factitive.
Voici un exemple de ce genre de construction : il fait relire ses
½uvres
.
se faire : à la forme pronominale suivie d'un infinitif, faire
donne un sens passif à une phrase. Le sujet subit l'action. On parle de
périphrase verbale passive. Voici un exemple de ce genre de construction
: il s'est fait renvoyer de l'école.


Les voix
La catégorie de la voix permet d'indiquer de quelle manière le sujet
prend part à l'action. On distingue trois types de voix :
La voix active
Lorsque le verbe est à la voix active, le sujet se retrouve le moteur de
l'action. C'est lui qui est véritablement l'agent de cette action.
Le chat mange la souris.
La voix passive
Au contraire, à la voix passive, le sujet devient spectateur de l'action
et la subit.
La souris est mangée par le
chat.

Grammaticalement, le complément d'objet passe à gauche du verbe et
devient le sujet tandis que le sujet devient à droite le complément
d'agent.
Tous les verbes ne peuvent pas se mettre à la voix passive. Seuls les
verbes qui sont transitifs directs peuvent se mettre à la voix passive.
Une manière simple de retenir quels verbes peuvent se mettre à la voix
passive est de regarder s'il y a une préposition après le verbe comme à,
de, au, du etc. À ce moment, il n'est pas possible de mettre
le verbe à la voix passive.
De plus, tous les verbes d'état ne peuvent être mis à la voix passive.
On appelle verbe d'état les verbes qui n'expriment pas une action mais
qui permettent d'attribuer une caractéristique (qualité ou défaut) à un
être ou un objet : être, devenir, sembler, paraître, rester...
La voix pronominale
La voix pronominale se forme avec le pronom réfléchi personnel "se". En
français, les deux modes privilégiés sont la voix active et la voix
passive. Certains grammairiens classent la voix pronominale dans la voix
passive avec un complément d'agent "se".
Il se promène dans son jardin.
Certains verbes sont conjugués uniquement à la forme pronominale. On
parle alors de verbes essentiellement pronominaux : se méfier, se
désister, se souvenir, s'évanouir...
On parle de voix pronominale réfléchie lorsque le sujet et le pronom
sont la même personne. Dans le cas inverse, on parle de voix pronominale
réciproque.
il s'est regardé dans la glace.
(réfléchi)

Pierre et Paul se sont regardés
dans la glace. (réciproque)

Les temps
Les temps sont les formes que peuvent prendre un verbe pour indiquer à
quel moment de la durée se situe l'action par rapport au passé, au
présent et au futur. Les nuances en fonction des conditions ou d'une
hypothétique réalisation sont quant à elles exprimées par le mode.
Voici les différents temps qui existent tout d'abord par rapport à une
action au moment présent.
- Pendant l'action, nous avons le présent : la pluie tombe.
- Avant l'action, il y a tout d'abord l'imparfait avec son début
et sa fin indéterminés dans le temps : la pluie tombait quand je suis
entré.

Puis nous avons le passé simple qui marque une action soudaine : la
pluie tomba brutalement.

Enfin nous avons le passé composé qui indique un passé proche : il
a plu ce matin.

- Après l'action, nous avons le futur simple : la pluie
tombera demain.

Mais aussi le futur antérieur lorsque l'action est déjà terminée
par rapport à une autre dans le futur : Dès qu'il aura fini de
pleuvoir, il partira
.

Ensuite voici les différents temps qui existent par rapport à une action
du passé.
- Avant l'action, nous avons le passé antérieur : dès qu'il
eut cessé de pleuvoir, il partit
ainsi que le plus-que-parfait
: il avait plu quand vous êtes entrés.
- Après l'action, nous avons le futur du passé qui se traduit
dans la pratique par le conditionnel présent : Je croyais qu'il
pleuvrait.
Et lorsque l'action est déjà terminée par rapport à tel
moment à venir (mais toujours dans le passé), on utilise le futur
antérieur du passé
qui se traduit par le conditionnel passé : je
croyais qu'il aurait plu avant votre départ.


Lexique :
Voici un récapitulatif des principaux termes grammaticaux employés .
Mot
Définition
adjectif
L'adjectif accompagne un nom et permet de le compléter (un petit
chat). Il s'accorde en genre et en nombre avec le nom.
adverbe
Mot invariable dont la fonction est de modifier le sens d'un verbe, d'un
adjectif ou d'un autre adverbe.
affixe
Elément linguitique qui se met soit au début, au milieu ou à la fin d'un
mot pour en modifier le sens ou la valeur grammaticale.
attribut
Terme (adjectif, nom, etc.) qualifiant le sujet ou le COD par
l'intermédiaire d'un verbe.
COD
Pour Complément d'Objet Direct, il désigne l'être ou la chose sur
lesquels porte l'action. Il se reconnaît en posant les questions "qui"
ou "quoi" après le verbe.
COI
Pour Complément d'Objet Indirect, il complète un verbe par
l'intermédiaire d'une préposition à ou de. On le reconnaît en posant la
question "à qui", "à quoi", "de qui", "de quoi" ou "pour qui".
conjugaison
La conjugaison est l'ensemble des formes que peut prendre un verbe. Au
total, avec toutes les variantes, on arrive à une centaine de formes
pour un seul verbe.
complément circonstanciel
Le complément circonstanciel complète un verbe. Leur nombre n'est pas
limité dans une phrase. Il permet d'introduire une indication sur le
temps, le lieu, la manière ou le moyen. On les reconnaît en posant les
questions "où", "quand", "comment", "combien".
conjonction
Une conjonction est un mot permettant d'unifier deux mots, deux groupes
de mots ou deux expressions en les coordonnant ou en les subordonnant.
Les conjonctions de coordination peuvent se retenir dans cet ordre :
mais, ou, et, donc, or, ni, car.
COS
Pour Complément d'Objet Second, il se comporte comme un COI introduit
après un COD. Il a la même fonction que le COI.
défectif
Un verbe défectif est un verbe qui ne se conjugue pas à tous les temps.
Sa conjugaison est incomplète.
diphtongue
Voyelle unique qui change de timbre au cours de son émission. En
espagnol, les diphtongues impliquent des changements dans l'orthographe
lors de la conjugaison.
élision
Suppression, dans l'écriture ou la prononciation, de la voyelle finale
d'un mot devant une voyelle initiale ou un h muet. On le remplace alors
par un apostrophe : "j'hallucine".
euphonie
Suite harmonieuse de sons dans une phrase.
explétif
Se dit d'un mot qui n'est pas nécessaire au sens de la phrase mais qui
sert à lui donner plus de force. Typiquement le "ne" de la négation à
l'oral.
hiatus
Juxtaposition de deux voyelles à l'intérieur d'un même mot (chaos)
ou entre deux mots (il alla à Aorte).
homophone
Les homophones sont tous les mots qui se prononcent de la même façon
mais dont l'orthographe change.
impersonnel
Se dit d'un verbe qui ne se conjugue qu'à la troisième personne : "il
pleut".
intransitif
Se dit d'un verbe qui n'est pas suivi d'un complément d'objet : COD ou
COI.
locution
Groupe de mots constituant une unité (lexicale ou grammaticale).
locution verbale
Groupe de mots qui exprime une idée unique et joue le rôle d'un verbe :
donner lieu, avoir envie, prendre garde, faire savoir...
pronom
Mot qui remplace le nom. On les catégorise en six classes :
démonstratifs, indéfinis, interrogatifs, personnels, possessifs et
relatifs.
radical
Partie invariable d'un mot ou d'un verbe par opposition à la
terminaison.
réciproque
Se dit d'un verbe pronominal lorsque le sujet et le pronom ne sont pas
la même personne.
réfléchi
Se dit d'un verbe pronominal lorsque le sujet et le pronom sont la même
personne : "il s'est regardé dans la glace".
relatif
Se dit d'un mot qui établit une relation entre le nom ou le pronom et la
proposition dite (subordonnée) relative. "qui, que, quoi, dont, où,
lequel, duquel..." dont des pronoms relatifs.
substantif
C'est un synonyme de nom. On dit substantif verbal un nom qui est dérivé
d'un verbe (gare / garer).
terminaison
Partie finale d'un mot ou d'un verbe par opposition au radical. La
terminaison porte la marque du sujet, du temps et du mode dans la
conjugaison.
transitif
Se dit d'un verbe qui accepte un complément d'objet : COD ou COI.
verbe
Le verbe est un mot qui exprime soit une action faite ou subie par un
sujet, soit l'existence ou l'état du sujet soit enfin l'union de
l'attribut du sujet. Exemple : il fait du violon.


Quelques modèles de verbes
La conjugaison d'un verbe n'est pas facile. C'est pourquoi il convient
de se rattacher à certains modèles. Le but de ces quelques pages est de
vous présenter certains types de verbes assez faciles à retenir afin que
vous puissiez vous rappeler leur orthographe.
Les verbes du premier groupe
Cas général des verbes du premier groupe
Les verbes en -yer
Les verbes en -éer
Les verbes en -ger
Les verbes en -guer, -quer
Les verbes en -ier, -ouer, -uer
Les verbes en -cer
Les verbes en -eler et -eter
Les verbes en -e(.)er et -é(.)er

Les verbes du deuxième groupe
Cas général des verbes du deuxième groupe
Une seule exception : haïr

Les verbes du troisième groupe
Cas général des verbes du troisième groupe
Les verbes en -aître et -oître
Les verbes dire et faire
Les verbes vaincre et convaincre
Le verbe rompre
Le verbe asseoir
Le verbe aller
Le verbe pouvoir
Les verbes en -dre
Les verbes en -ire


Cas général des verbes du premier groupe
L'exemple typique des verbes du premier groupe est "aimer". Pour ne pas
déroger à la règle, on va partir nous-aussi de ce verbe.
Dans le tableau ci-dessous, on sépare le radical de la terminaison. Le
radical est la partie invariable du verbe. Elle est commune à tous les
temps. La terminaison, quant à elle, change en fonction du temps et du
mode
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الإثنين يوليو 05, 2010 6:58 am
Indicatif
Personne
Présent
Imparfait
Passé simple
Futur simple
je
tu
il
nous
vous
ils
aim - e
aim - es
aim - e
aim - ons
aim - ez
aim - ent
aim - ais
aim - ais
aim - ait
aim - ions
aim - iez
aim - aient
aim - ai
aim - as
aim - a
aim - âmes
aim - âtes
aim - èrent
aim - er - ai
aim - er - as
aim - er - a
aim - er - ons
aim - er - ez
aim - er - ont

Subjonctif
Personne
Présent
Imparfait
que je
que tu
qu'il
que nous
que vous
qu'ils
aim - e
aim - es
aim - e
aim - i - ons
aim - i - ez
aim - ent
aim - a - ss - e
aim - a - ss - es
aim - â - t
aim - a - ss - i - ons
aim - a - ss - i - ez
aim - a - ss - ent

Conditionnel
Personne
Présent
je
tu
il
nous
vous
ils
aim - er - ai - s
aim - er - ai - s
aim - er - ai - t
aim - er - i - ons
aim - er - i - ez
aim - er - ai - ent

Impératif
Personne
Présent
(tu)
(nous)
(vous)
aim - e
aim - ons
aim - ez

Temps impersonnels
Personne
Participe
présent
Participe
passé
Infinitif

aim - ant
aim - é
aim - e - r


Les verbes en -eyer
Les verbes se terminant par -eyer sont relativement peu nombreux. Le
plus fréquent est grasseyer qui veut dire prononcer de la gorge
certaines consonnes comme le r. Dans leur cas, on conserve le y dans
toute la conjugaison. On ne peut pas remplacer ce y par un i.
je grasseye
tu grasseyes
il grasseye
Les verbes en -ayer
Là, les verbes sont nettement plus nombreux. Citons par exemple balayer,
effrayer, essayer ou payer. Il en existe d'autres moins fréquents sur
le même modèle. Ces verbes peuvent changer le y en un i devant un e
muet. Mais ils peuvent aussi garder ce même y. Pour eux, nous avons une
double conjugaison.
je paie ou je paye
nous essaierons ou nous
essayerons

Une petite remarque tout de même sur le verbe bayer (familier au
passage) qui veut dire rester la bouche ouverte. Ce verbe suit en
théorie la même règle mais il ne s'emploie que dans l'expression "bayer
aux corneilles" ce qui fait qu'il ne s'utilise qu'à l'infinitif. Le
verbe plus soutenu est bâiller qui est à utiliser pour signaler une
large ouverture (de la bouche suite à un endormissement par exemple mais
aussi d'une porte). Tant qu'on est sur les remarques, ne confondez pas
bâiller et bailler. Bailler est un verbe complètement défectif voulant
dire donner. Encore une fois, attention aux accents!
Les verbes en -oyer et -uyer
Nous avons vu le cas des verbes qui gardent le y dans la conjugaison
puis les hybrides (y et i). Il ne nous manque plus que cette catégorie :
les verbes qui changent le y en un i devant un e muet et ce dans toute
la conjugaison. Tel est le cas des verbes en -oyer et -uyer : aboyer,
employer, envoyer, nettoyer, appuyer, ennuyer, essuyer...
je nettoie (présent de
l'indicatif)

nous nettoyons (présent de
l'indicatif)

je nettoyai (passé simple)
Les verbes envoyer et renvoyer
Les deux seules exceptions des verbes en -oyer sont envoyer et renvoyer
qui sont irréguliers au futur et au conditionnel présent.
j'enverrai (futur simple)
nous enverrions (conditionnel
présent)

Pour résumer
Voici un petit tableau pour vous aider à mémoriser plus facilement
toutes ces règles :

Verbes en
y reste y
y devient i
-eyer
X

-ayer
X
X
-oyer
-uyer

X

Enfin, pour terminer, une petite note concernant la conjugaison des
verbes en -yer en général. Aux deux premières personnes du pluriel de
l'imparfait, ces verbes prennent un i après le y. Ce n'est pas une
exception en soit puisqu'il s'agit de la terminaison normale mais ceci a
de quoi choquer au début. On écrit ainsi nous payions.
Les verbes en -éer
Le plus connu des verbes en -éer est créer mais on peut aussi citer
suppléer ou maugréer. Ces verbes ne sont pas à franchement parler des
exceptions puisqu'ils suivent la règle générale de conjugaison des
verbes du premier groupe. L'unique chose est qu'il convient de bien
réfléchir au nombre de e à mettre d'affilé car il peut y en avoir
jusqu'à 3 pour le participe passé féminin singulier : la toile que
j'ai créée
.
Regardez, pour ce verbe, le radical est "cré". A cela s'ajoute la
terminaison normale des verbes en -er : je crée, tu crées... Au
participe passé, on ajoute simple un é (comme dans je suis aimé ayant
pour radical "aim"). On se retrouve alors 2 é d'affilé : j'ai créé. Et
s'il y a un accord du participe passé, on met alors un 3e e : les
choses que j'ai créées
.
Les verbes en -ger
Une modification orthographique apparaît pour les verbes en -ger devant
les voyelles a et o. On ajoute un e entre le g et la terminaison pour
conserver le son g doux (ie le j) : nous mangeons, tu mangeas.
Réciproquement, les verbes en -guer conservent le u à toutes les formes :
fatiguant, il fatigue.
Les verbes en -guer et -quer
Les verbes en -guer et -quer sont réguliers. Ceci veut dire qu'ils
gardent le u de leur radical dans toutes les conjugaisons même lorsque
ce n'est pas nécessaire pour le son : je fatigue et c'est fatiguant.
Arguer
Une petite exception si l'on veut avec le verbe arguer. En effet, on
doit toujours prononcer le u. Dans la conjugaison du verbe arguer, il
existe une variante de conjugaison avec un tréma : j'arguë, tu arguës,
ils arguënt, etc. Cette forme est recommandée par certains dictionnaires
de difficulté du français (Girodet, Collin...).
Mais ce n'est pas tout, dans la réforme de 1990, l'Académie Française
recommande maintenant de mettre le tréma sur le u : j'argüe, tu argües,
il argüe etc.
C'est devant ce manque de consensus (ou volonté de compliquer les
choses?) que Le Conjugueur a quant à lui choisit de suivre le
Bescherelle et classe ce verbe parmi les verbes réguliers.
Les verbes en -ier, -ouer et -uer
Des verbes comme crier, jouer ou distribuer suivent la même règle que
les verbes en -éer : celle de la régularité par rapport au modèle des
verbes du premier groupe comme aimer. On fera juste attention qu'au
futur simple et au conditionnel, ces verbes prennent un e qui ne se
prononce pas : je jouerai.
On notera qu'il n'y a pas besoin de modifier leur conjugaison avec un
tréma par exemple, ils sont tout à fait réguliers : nous louions.
Les verbes en -cer
Une cédille ç apparaît dans la conjugaison des verbes en -cer sous le c
devant les voyelles a et o afin de garder le son s. Ainsi écrira-t-on nous
plaçons
et tu plaças afin de conserver au c le son doux. Là
où ce n'est pas nécessaire, il n'y a pas de modification orthographique :
je place.
Certains verbes en -oir ont également une cédille devant le u : il
reçut
.
Les verbes en -ecer et -écer
Les verbes en -ecer et -écer sont un cas un peu plus subtile parmi les
verbes en -cer. Ces verbes sont peu nombreux, il s'agit de dépecer,
rapiécer et clamecer. Ces verbes cummulent deux modifications
orthographiques. On ajoute une cédille devant les a et o pour garder le
son s et en plus, la lettre e de la deuxième syllabe devient è dès
qu'elle est suivie d'une syllabe comportant un e muet : je dépèce, tu
dépèces, il dépèce, nous dépeçons, vous dépecez, ils dépècent
.
Les verbes en -eler
Il faut bien le dire, les verbes en -eler et -eter sont toujours une
difficulté et il convient de bien réfléchir avant de procéder à leur
conjugaison.
Les verbes en -eler redoublent le l devant un e muet ou dit plus
simplement pour obtenir le son è, on redouble le l car, suivi de deux
consonnes, le e devient è sans qu'il soit nécessaire de lui ajouter un
accent grave.
j'appelle ==> son è grâce au
doublement du l

nous appelons ==> son e, pas
de doublement du l nécessaire

Mais c'est là que ça se complique car si cette règle est valable pour
certains verbes, elle ne l'est pas pour tous les verbes de ce modèle.
Ces autres verbes changent tout simplement le e en un è sans doublement
de consonne. Ces verbes sont les suivants : celer, déceler, receler,
ciseler, démanteler, écarteler, encasteler, geler, dégeler, congeler,
surgeler, marteler, modeler, peler
. Il s'agit d'une liste exhaustive
qu'il faut malheureusement savoir par c½ur.
je gèle ==> son è, accent
grave nécessaire

nous gelons ==> son e, pas
d'acent grave nécessaire

Les verbes en -eller et interpeller
Les verbes en -eller n'ont aucune exception particulière et ne demandent
pas de changement orthographique dans leur conjugaison. Une petite
remarque tout de même sur interpeller en terme de prononciation. En
effet, même s'il a deux l, le e doit se prononcer sur le modèle de
appeler. Ceci veut dire que l'on écrit "nous interpellons" mais que l'on
prononce "*nous interpelons" comme s'il n'y avait qu'un seul l. Par
contre, c'est une faute de l'écrire de cette manière.
Les verbes en -eter
Les verbes en -eter suivent la même règle que les verbes en -eler et
l'on double le t pour obtenir le son è.
je jette ==> son è grâce au
doublement du t

nous jetons ==> son e, pas de
doublement du t nécessaire

Et on a également une liste d'exception pour des verbes qui ne doublent
pas le t et prennent à la place un accent grave è : acheter,
racheter, bégueter, corseter, crocheter, fileter, fureter, haleter.

j'achète ==> son è, accent
grave nécessaire

nous achetons ==> son e, pas
d'acent grave nécessaire

La réforme de 1990
Les rectifications orthographiques de 1990 autorisent l'emploi du è pour
tous les verbes en -eler et -eter sauf pour les verbes en appeler et en
jeter). Dans ce cas, le e du radical se change en è quand la syllabe
qui suit contient un e muet : elle ruissèle, il détèle, il époussète ;
il détèlera, etc. Les noms en -ment s?écrivent comme le verbe.
Exceptions : appeler, jeter et les verbes de leurs familles redoublent l
ou t devant une syllabe contenant un e muet : j?appelle, je jette,
j?appellerai, etc. Et au passage, on recommande maintenant interpeler
avec un seul l.

Les verbes en -e(.)er
On entend par verbe en -e(.)er tous les verbes autres que ceux terminés
par -eler et par -eter qui ont d'autres particularités.
Des verbes comme élever, peser, soulever... changent le e de
l'avant-dernière syllabe en è devant une syllabe finale muette
(c'est-à-dire qui ne se prononce pas) y compris au futur et au
conditionnel.
j'élève ==> le dernier e ne
se prononce pas, on met donc un accent grave è

nous élevons ==> la syllabe
qui suit le e n'est pas muette donc on ne met pas d'accent grave è

j'élèverai ==> ceci est
également valable au futur

Les verbes en -é(.)er
On entend par verbe en -é(.)er tous les verbes ayant un é suivit par une
ou des consonnes et se terminant par er.
Des verbes comme accéder, considérer, régler, tolérer... changent
le é de l'avant-dernière syllabe en è devant une syllabe finale muette
(c'est-à-dire qui ne se prononce pas) sauf au futur et au conditionnel.
je cède ==> le dernier e ne
se prononce pas, on met donc un accent grave è

nous cédons ==> la syllabe
qui suit le é n'est pas muette donc on ne met pas d'accent grave è

nous céderons ==> ceci n'est
pas valable au futur


Cas général des verbes du 2e groupe
Il y a peu d'exception dans les verbes du deuxième groupe. Le plus digne
représentant de ces verbes est le verbe finir. C'est sur la base de sa
conjugaison que se conjuguent environ 300 verbes.
Dans le tableau ci-dessous, on sépare le radical de la terminaison. Le
radical est la partie invariable du verbe. Elle est commune à tous les
temps. La terminaison, quant à elle, change en fonction du temps et du
mode.
Indicatif
Personne
Présent
Imparfait
je
tu
il
nous
vous
ils
fini - s
fini - s
fini - t
fini - ss - ons
fini - ss - ez
fini - ss - ent
fini - ss - ai - s
fini - ss - ai - s
fini - ss - ai - t
fini - ss - i - ons
fini - ss - i - ez
fini - ss - ai - ent
Personne
Passé simple
Futur simple
je
tu
il
nous
vous
ils
fini - is
fini - is
fini - it
fini - îmes
fini - îtes
fini - irent
fini - r - ai
fini - r - as
fini - r - a
fini - r - ons
fini - r - ez
fini - r - ont

Subjonctif
Personne
Présent
Imparfait
que je
que tu
qu'il
que nous
que vous
qu'ils
fini - ss - e
fini - ss - es
fini - ss - e
fini - ss - i - ons
fini - ss - i - ez
fini - ss - ent
fini - ss - e
fini - ss - es
finî - t
fini - ss - i - ons
fini - ss - i - ez
fini - ss - ent

Conditionnel
Personne
Présent
je
tu
il
nous
vous
ils
fini - r - ai - s
fini - r - ai - s
fini - r - ai - t
fini - r - i - ons
fini - r - i - ez
fini - r - ai - ent

Impératif
Personne
Présent
(tu)
(nous)
(vous)
fini - s
fini - ss - ons
fini - ss - ez

Temps impersonnels
Personne
Participe
présent
Participe
passé
Infinitif

fini - ss - ant
fini
fini - r


Le verbe haïr
Haïr est le seul verbe ayant cette terminaison. Sa particularité est de
prendre un tréma sur le i dans toute sa conjugaison, excepté aux trois
personnes du singulier du présent de l'indicatif, et à la 2e personne du
singulier de l'impératif. L'accent circonflexe au passé simple est
éliminé par le tréma tout comme au subjonctif imparfait. Hormis par le
contexte, on ne distingue pas ces deux temps.
Pour se rappeler de son exception, on peut partir de la sonorité. Au
présent de l'indicatif, on prononce le son ai comme dans une haie. Par
contre, dès qu'il y a le tréma, on sépare bien le a du i et on prononce
les deux lettres.
Enfin, on notera que le h de ce verbe est aspiré. Ceci veut dire qu'on
doit dire "je hais" et qu'il n'est pas possible de remplacer le "je" par
"j'".
Cas général des verbes du 3e groupe
Les verbes du troisième groupe sont grosso-modo tous les verbes
irréguliers. Ils proviennent directement de l'histoire de la langue. On
peut cependant subdiviser ce groupe en trois sous-groupes :
1. Les verbes terminés en -IR (comme OUVRIR : ouvr-ant; ouvr-ons);
2. Les verbes terminés en -OIR (comme POUVOIR : pouv-ant; pouv-ons);
3. Les verbes terminés en -RE (comme METTRE : mett-ant; mett-ons);
Dans le tableau ci-dessous, on sépare le radical de la terminaison. Le
radical est la partie invariable du verbe. Elle est commune à tous les
temps. La terminaison, quant à elle, change en fonction du temps et du
mode.
Zico
Zico
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ذكر
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مفاجأة (مكتبة) القواعد الأساسية للغة الفرنسية اهداء منى ليكوا كلكوا Empty رد: مفاجأة (مكتبة) القواعد الأساسية للغة الفرنسية اهداء منى ليكوا كلكوا

الإثنين يوليو 05, 2010 6:59 am
Indicatif présent
Personne
Ouvrir
Dormir
Mettre
Pouvoir
je
tu
il
nous
vous
ils
ouvr - e
ouvr - es
ouvr - e
ouvr - ons
ouvr - ez
ouvr - ent
dor - s
dor - s
dor - t
dorm - ons
dorm - ez
dorm - ent
met - s
met - s
met
mett - ons
mett - ez
mett - ent
peu - x
peu - x
peu - t
pouv - ons
pouv - ez
peuv - ent

Indicatif imparfait
Personne
Ouvrir
je
tu
il
nous
vous
ils
ouvr - ai - s
ouvr - ai - s
ouvr - ai - t
ouvr - i - ons
ouvr - i - ez
ouvr - ai - ent

Indicatif passé simple
Personne
Ouvrir
Pouvoir
Venir
je
tu
il
nous
vous
ils
ouvr - is
ouvr - is
ouvr - it
ouvr - îmes
ouvr - îtes
ouvr - irent
p - us
p - us
p - ut
p - ûmes
p - ûtes
p - urent
v - ins
v - ins
v - int
v - înmes
v - întes
v - inrent

Indicatif futur simple
Personne
Ouvrir
je
tu
il
nous
vous
ils
ouvr - ir - ai
ouvr - ir - as
ouvr - ir - a
ouvr - ir - ons
ouvr - ir - ez
ouvr - ir - ont

Subjonctif présent
Personne
Ouvrir
que je
que tu
qu'il
que nous
que vous
qu'ils
ouvr - e
ouvr - es
ouvr - e
ouvr - i - ons
ouvr - i - ez
ouvr - ent

Subjonctif imparfait
Personne
Ouvrir
Pouvoir
Venir
que je
que tu
qu'il
que nous
que vous
qu'ils
ouvr - i - ss - e
ouvr - i - ss - es
ouvr - î - t
ouvr - i - ss - i - ons
ouvr - i - ss - i - ez
ouvr - i - ss - ent
p - u - ss - e
p - u - ss - es
p - û - t
p - u - ss - i - ons
p - u - ss - i - ez
p - u - ss - ent
v - in - ss - e
v - in - ss - es
v - în - t
v - in - ss - i - ons
v - in - ss - i - ez
v - in - ss - ent

Conditionnel présent
Personne
Ouvrir
je
tu
il
nous
vous
ils
ouvr - ir - ai - s
ouvr - ir - ai - s
ouvr - ir - ai - t
ouvr - ir - i - ons
ouvr - ir - i - ez
ouvr - ir - ai - ent

Impératif présent
Personne
Ouvrir
Dormir
(tu)
(nous)
(vous)
ouvr - e
ouvr - ons
ouvr - ez
dor - s
dorm - ons
dorm - ez

Temps impersonnels
Personne
Participe
présent
Participe
passé
Infinitif

ouvr - ant
dorm - i
p - u
ven - u
pri - s
clo - s
absou - s
écri - t
ouver - t
mor - t
ouvr - i - r
pouv - oi - r
croi - r - e


Les verbes en -aître et en -oître
Les verbes se terminant par -aître et par -oître sont peu nombreux. On
peut notamment cités les verbes suivants et leurs dérivés : paraître,
connaître, naître, croître. Ils sont cependant remarquables car la règle
est relativement simple d'autant plus qu'il s'agit de verbes assez
fréquents.
Les verbes en -aître et en -oître conservent leur accent circonflexe
quand le i du radical est placé devant un t.

je connais mais il connaît
je connaissais mais je
connaîtrai

La réforme de 1990
Dans les modifications orthographiques de la réforme de 1990, on propose
de laisser tomber cet accent circonflexe. Après plus d'une quinzaine
d'années, on constate que personne ne laisse tomber le chapeau. Cette
proposition doit donc être considérée avec la plus grande vigilance
d'autant plus que la règle est assez simple.
Le verbe croître
Croître porte un accent circonflexe à toutes les formes où on pourrait
le confondre avec croire. Ceci veut dire que cela ne concerne pas les
verbes accroître, décroître et recroître qui eux suivent la règle
décrite ci-dessus. Dans l'orthographe classique, croître a cependant la
particularité de prendre un accent circonflexe sur son participe passé
masculin seulement. On écrit alors crû, crue, crus et crues. Depuis
1990, on recommande de garder cet accent circonflexe à toutes les formes
y compris dans les formes du participe passé.
Malgré cette règle, certains temps comme l'imparfait du subjonctif des
verbes croître et croire sont identiques et il faut faire appel au
contexte pour les différencier.
je croîs (croître) mais je crois
(croire)

qu'il crût (croître/croire)
Les verbes clore, gésir et plaire
Ces trois verbes prennent un accent circonflexe devant le t : il clôt,
il gît, il plaît. Attention donc à l'écriture de SVP : s'il vous plaît.
Il ne s'agit cependant pas d'une règle générale puisqu'un verbe comme
taire n'a pas d'accent circonflexe devant le t.
Lors de la révision de l'orthographe en 1990, l'Académie Française
recommande de laisser tomber l'accent circonflexe et d'écrire tout
simplement il plait mais à nouveau, ceci n'est pas suivi d'effet dans la
pratique.
Le verbe dire
Le verbe dire fait vous dites à la deuxième personne du pluriel
du présent de l'indicatif. Il s'agit d'une exception par rapport à cette
forme qui se termine généralement en -ez.
Mais ceci n'est pas valable pour les dérivés de dire (sauf redire) :
contredire, dédire, interdire, médire, prédire. Dans ce cas, on dit vous
contredisez, vous médisez
de manière tout à fait régulière.
On remarquera que l'exception porte uniquement sur le présent de
l'indicatif. Au subjonctif, on dit que vous disiez.
Redire se conjugue de la même manière que dire : vous redites.
C'est le seul des dérivés de dire de cette forme.
On notera également que maudire est un verbe du troisième groupe et se
conjugue sur la base de finir et fait son participe passé en maudit.
Le verbe faire
L'autre exception de la deuxième personne du pluriel du présent de
l'indicatif est faire : vous faites. Par contre, cette fois-ci
les dérivés de faire se conjuguent sur le même modèle que faire : vous
satisfaites
. Enfin, notez que même si on écrit, nous faisons,
on le prononce comme *nous fesons.

Les verbes vaincre et convaincre
La particularité de vaincre et de convaincre est de ne pas prendre de t
au présent de l'indicatif : je vaincs, tu vaincs, il vainc. Le
verbe se termine ainsi en c. Cette conjugaison est évidemment source de
doute et il vaut mieux s'en rappeler.
De plus, le c se change en qu devant une voyelle sauf le u afin de
conserver le son k : nous vainquons.

Le verbe rompre
La particularité du verbe rompre et de ses dérivés (rompre, corrompre,
interrompre) est de prendre un t à la suite du p à la
troisième personne du singulier du présent de l'indicatif : il rompt.
Le reste de la conjugaison est basée sur le même modèle que les verbes
en -dre comme rendre.
Rompre au présent de l'indicatif :
je romps
tu romps
il rompt
nous rompons
vous rompez
ils rompent

Le verbe asseoir
Asseoir (et rasseoir) est bien connu pour posséder deux formes de
conjugaison : j'assois et j'assieds. Y a-t-il une préférence dans
l'emploi de ces formes? Autant le dire tout de suite, les deux formes
sont parfaitement correctes. On constate cependant que formes en ie sont
plus distinguées que les formes en ey. On notera cependant que le futur
et le conditionnel *j'asseyerai et *j'asseyerais ne sont plus d'usage.
À l'impératif, on dira plutôt assieds-toi ou assois-toi mais
jamais *assis-toi. Ce "assis" est une forme du présent de l'indicatif
datant du XVIIe siècle aujourd'hui inusitée.
De plus, on notera la présence du e étymologique sauf au présent de
l'indicatif et au futur.
La réforme de 1990
Dans la réforme de 1990, l'Académie Française propose de laisser tomber
le e étymologique de asseoir et d'écrire ce verbe assoir. Cette
forme semble cependant loin d'être adoptée et il est préférable de
laisser ce e.

Le verbe aller
Aller n'a aucun équivalent dans la langue française. Celui-ci est
en effet complètement irrégulier. Pas de chance, il va falloir le
savoir par c½ur car en plus, il est très courant.
Un verbe du 3e groupe
La première chose qui frappe avec ce verbe est qu'il est du 3e groupe même
si sa terminaison est en -er
. Aller est le seul verbe du 3e groupe à
avoir une telle terminaison.
Un verbe à 3 radicaux
Le verbe aller contient pas moins de trois radicaux différents:
- le radical va au présent de l'indicatif
- le radical ir au futur et au conditionnel
- le radical all dans toutes les autres formes.
Ces trois différents radicaux constituent l'une des principales
difficultés du verbe mais ce n'est pas encore tout.
Être allé
Aller se conjugue exclusivement avec l'auxiliaire être dans les temps
composés. Il ne s'emploie jamais avec l'auxiliaire avoir.
Vas-y
Une autre caractéristique intéressante du verbe aller est son impératif.
Lorsque l'on utilise le pronom adverbial y, un s apparaît à la
fin de l'impératif de va. On écrit ainsi vas-y, ce qui est
beaucoup plus simple à prononcer.
Bien évidemment, cette règle n'est valable que lorsque le pronom y se
rapporte au verbe aller. Dès qu'il fait référence à un autre verbe, le s
disparaît : va y faire ton devoir.
S'en aller
Enfin, la dernière règle que l'on peut remarquer est l'usage de la
pronominale. Le pronom en apparaît après le pronom réfléchi. On
écrit ainsi je m'en vais.
Remarquons qu'à l'impératif, on écrit va-t'en avec un apostrophe
car il s'agit en fait de l'élision du pronom réfléchi te.
Pour les autres formes de l'impératif par contre, un trait d'union est
nécessaire : allons-nous-en et allez-vous-en. Enfin,
l'usage de la langue autorise de plus en plus la forme je me suis en
allé
à la place de je m'en suis allé, beaucoup plus formel.

Le verbe pouvoir : un semi-auxiliaire
En français, avoir et être sont les auxiliaires principaux mais il
existe cependant des semi-auxiliaires, capable de changer de manière
significative le sens d'un verbe. Ainsi, lorsqu'il est suivi par un
infinitif, pouvoir exprime une nuance de possibilité.
Deux formes au présent
On notera également que pouvoir a deux formes au présent de l'indicatif :
Je peux et je puis.
Ce dernier est beaucoup plus formel et ne s'emploie guère dans la
conversation courante sauf lorsque l'on pose une question où l'on dit : est-ce
que je peux
ou puis-je. De la même manière, cette dernière
forme, est beaucoup plus polie.
On notera également que les terminaisons de pouvoir au présent de
l'indicatif sont irrégulières : je peux, tu peux, il peut. La
particularité est de prendre un x à la place d'un s ou d'un e comme la
plupart des autres verbes. Les autres verbes de ce genre sont faillir,
vouloir et valoir.
Impératif
Le verbe pouvoir n'existe pas à l'impératif. On utilise pour le
remplacer le subjonctif : Puisses-tu trouver la solution,
puissions-nous, puissiez-vous.


Les verbes en -dre
Les verbes en -dre sont nombreux et il convient de faire attention à
leur conjugaison car certains gardent le d et d'autres le perdent.
Les verbes en -dre gardant le d
Les verbes en -dre comme vendre, perdre, coudre garde leur d dans toute
leur conjugaison :
-ds -ds -d -ons -ez -ent
Les verbes en -dre perdant le d
Les verbes en -aindre, -eindre, -oindre, -soudre comme craindre,
peindre, joindre, résoudre suivent quant à eux la règle générale et
perdent le d aux deux premières personnes du singulier du présent de
l'indicatif. À la troisième personne de l'indicatif, le d se
change en t. Ils ne conservent le d qu'au futur simple et au
conditionnel présent. Voici les terminaisons du présent de l'indicatif :
-s -s -t -ons -ez -ent

Les verbes en -ire
Les verbes en -ire sont relativement divisés dans leur conjugaison. En
général, le pluriel du présent de l'indicatif, l'imparfait du
subjonctif, le présent du subjonctif, le passé simple et l'imparfait du
subjonctif ont un s sonore [z] entre le radical et la terminaison. Un
exemple avec le verbe produire :
produisant
nous produisons
je produisais
que tu produises
il produisit
que je produisisse
Pour rire et sourire par contre, il n'y a pas ce s sonore
ce qui provoque un doublement du i à l'imparfait de l'indicatif et au
subjonctif présent. Il ne s'agit pas vraiment d'une exception puisque
les terminaisons sont régulières mais il est inhabituel d'avoir deux i
de cette manière.
je riais, nous riions
que je souris, que vous souriiez

Pour écrire et ses dérivés (circonscrire, décrire, inscrire,
prescrire, proscrire, retranscrire, souscrire, transcrire), un v
apparaît dans sa conjugaison aux mêmes temps que pour rire :
nous écrivons
que je souscrive
Notons enfin que lire, élire, réélire et relire ont un
passé simple et un imparfait du subjonctif où le i se change en u tout
en gardant le son s sonore [z] dans sa conjugaison.
je lus
que je lise
que je lusse

Quelques pièges
Certains verbes ne sont pas évidents soit parce qu'ils sont proches d'un
autre verbe soit parce que leurs usages sont méconnus. Cette section a
pour but de vous expliquer les particularités de certains de ces verbes.
Asservir
Avérer
Bénir
Convenir
Ficher
Hiberner et hiverner
Maudire et les dérivés de dire
Paraître
Rebattre
Recouvrer et retrouver
Répartir et repartir
Ressortir
Voir et voire


Asservir
Le verbe asservir signie "réduire à l'état d'esclave, de grande
dépendance". Contrairement à ce qu'on pourrait penser, ce verbe ne se
conjugue pas sur le modèle de servir mais sur celui de finir. En effet,
asservir est un verbe du deuxième groupe. Pour preuve, on dit "en
asservissant". Il n'y a aucune irrégularité dans sa conjugaison.
j'asservis
tu asservis
il asservit
nous asservissons
vous asservissez
ils asservissent

Avérer
Avérer signifie "qui est reconnu comme vrai". On voit d'ailleurs dans la
racine de ce verbe qu'il contient "vrai". Il est donc inexact d'écrire
"*il s'est avéré faux". Ceci introduit une contradiction. De même dire
"*il s'est avéré vrai" est un pléonasme. Mais on peut dans ces cas-là
remplacer s'avérer par se révéler.

Bénir
La particularité du verbe bénir, verbe du deuxième groupe par ailleurs
régulier, est d'avoir deux participes passés. La participe passé bénit,
bénite
s'emploie uniquement comme adjectif dans tous les cas où
l'on parle de choses liées à une bénédiction rituelle :
De l'eau bénite, du pain bénit.
Dans les autres cas où l'on ne parle pas de bénédiction rituelle, on
utilise le participe passé béni, bénie. Là où ça se complique,
c'est que même s'il s'agit de choses liées à une bénédiction rituelle
mais qu'on se rapporte à des personnes et qu'on le lie à un verbe, on
utilise le participe passé béni, bénie.
C'est le jour béni du départ.
Ce roi est béni par le peuple.
Le prêtre a béni les cierges.
Un chapelet béni par le pape.

Convenir
Concernant l'auxiliaire à employer, convenir se conjugue de manière
littéraire sur le verbe servant à le construire : venir. On utilise
alors l'auxiliaire être. Cependant, l'usage courant de ce verbe veut
qu'on utilise l'auxiliaire avoir.
Nous avons convenu de nous
revoir. (forme courante)

Nous sommes convenus de nous
revoir. (forme soutenue)

Si vous souhaitez utiliser un niveau de langage soutenu, l'auxiliaire
être est le plus approprié, sinon il faut utiliser l'auxiliaire avoir.

Ficher
Ficher a deux sens. Le premier signifie inscrire sur une fiche. Le
second, plus familier, signifie faire.
C'est dans son deuxième sens que ficher a une particularité : celle
d'être le seul verbe français qui ne contient pas de r à l'infinitif. En
effet, ce verbe s'écrit également "fiche" à l'infinitif. On le retrouve
par exemple dans l'expression familière "Rien à fiche". On le classe
toujours parmi les verbes du premier groupe.
Si un jour, on vous demande quel est le seul verbe à l'infinitif du
français qui ne contient pas de r, vous saurez répondre !

Hiberner et hiverner
Hiverner signifie tout simplement "passer l'hiver" que ce soit dans une
région ou dans un abri. Quant à hiberner, même s'il reprend le sens de
passer l'hiver, il signifie "passer l'hiver en état d'hibernation",
c'est-à-dire dans un état léthargique où la température du corps
s'abaisse afin de passer l'hiver en utilisant le minimum d'énergie. Ceci
s'emploie pour les animaux qui passent l'hiver de cette manière : les
loirs et les marmottes par exemple.
On notera que certains considèrent l'ours comme un hibernant mais ce
n'en est pas un. En effet, bien que les fréquences cardiaques
ralentissent, la température corporelle de l?ours reste relativement
stable et il peut être facilement réveillé. Les ours sont des
semi-hibernants.

Maudire
Voici un verbe que l'on peut maudire... sans jeu de mots. Contrairement à
ce que l'on pourrait penser, maudire ne se conjugue pas sur le modèle
de dire mais sur celui de finir tout en restant un verbe du troisième
groupe : nous maudissons, je maudissais et même en maudissant.
Ceci reste vrai à tous les temps sauf au participe passé où l'on
revient au modèle de dire : maudit, maudite.
Autres dérivés de dire
Qu'en est-il des autres dérivés de dire ? Le seul qui se conjugue
exactement sur le même modèle est redire. Les autres dérivés contredire,
dédire, interdire, médire
et prédire se distinguent de dire
au présent de l'indicatif à la deuxième personne du pluriel : vous
contredisez, vous dédisez, vous interdisez, vous médisez
et vous
prédisez
. Alors, qu'en dites-vous ?

Paraître
Certains verbes ont la particularité d'admettre les deux auxiliaires
dans leur conjugaison. C'est le cas de paraître qui se conjugue avec
l'auxiliaire avoir sauf dans le cas d'un livre où d'une publication où
on utilise l'auxiliaire être.
Ce film nous a paru intéressant
par son suspense.

==> auxiliaire avoir
Ce livre est paru le mois
dernier.

==> auxiliaire être

Rebattre
On entend souvent l'expression "*rabattre les oreilles à quelqu'un" pour
dire qu'on répète souvent quelque chose. Sauf que c'est une expression
familière... L'expression correcte est avec le verbe rebattre :
"rebattre les oreilles à quelqu'un".
On l'entend tellement à radio
qu'il en a les oreilles rebattues.


Recouvrer et retrouver
Recouvrer est un mot soutenu qui s'emploie principalement dans le sens
de récupérer. On dit de quelqu'un qui est guéri qu'il a recouvré la
santé
et de quelqu'un qui voit de nouveau qu'il a recouvré la vue.
L'usage se confond avec retrouver lorsqu'il s'agit de retrouver un état
ou une faculté : retrouver son calme. Recouvrer est pourtant
plus juste et plus précis que retrouver.
Pour bien se rendre compte des différences entre les deux verbes, voici
leurs définitions respectives dans le dictionnaire :
recouvrer :
- rentrer en possession de ce qu'on avait perdu (recouvrer la vue)
- opérer la perception de (l'impôt par exemple)
retrouver :
- trouver quelque chose qui avait disparu (retrouver ses clés)
- découvrir quelqu'un qui avait disparu (retrouver l'auteur de faits)
- recouvrer un état, une faculté (retrouver son calme)
- rejoindre quelqu'un à un rendez-vous (retrouver quelqu'un à midi)
- être de nouveau en contact après une séparation (je suis heureux de
vous retrouver)

Répartir et repartir
En apparence, les verbes répartir et repartir se conjuguent tous les
deux sur le modèle de partir. Eh bien non, vous vous doutez bien que ce
serait trop simple.
Repartir, verbe du troisième groupe, se conjugue bien sur le modèle de
partir et signifie "partir de nouveau" : en repartant.
Répartir, verbe du deuxième groupe, se conjugue sur le modèle de finir
et signifie "partager équitablement" : en répartissant. Le reste de la
conjugaison est régulier.
Repartir
Répartir
je repars
tu repars
il repart
nous repartons
vous repartez
ils repartent
je répartis
tu répartis
il répartit
nous répartissons
vous répartissez
ils répartissent


Ressortir
En apparence, le verbe ressortir paraît simple et signifie "sortir de
nouveau". Sauf que ce n'est pas si simple car il ne s'agit qu'une seule
des deux significations de ce verbe.
Car ressortir signifie également "être du ressort de", se rapporter ou
dépendre de. Et dans ce cas, il s'agit d'un verbe se conjuguant sur le
modèle de finir... Le verbe ressortir peut donc prendre deux sens
différents avec deux conjugaisons différentes.
Lorsque ressortir provient du verbe sortir et signifie "sortir de
nouveau", il est alors un verbe du troisième groupe et se conjugue comme
le verbe sortir : je ressors, tu ressors, il ressort...
Mais "ressortir (à)" est aussi un verbe transitif indirect qui signifie
"être du ressort" ou "être du domaine de quelque chose (ou de
quelqu'un)". Dans ce cas, "ressortir" est un verbe du deuxième groupe : je
ressortis, tu ressortis, il ressortit...

Exemple : cette décision
ressortit au juge compétent en la matière.


Voir et voire
Voir est un verbe très courant que l'on ne présente plus signifiant
percevoir avec les yeux. Quant à "voire", il s'agit d'un adverbe qui
signifie et aussi, et même.
Je viens de le voir.
J'ai attendu des mois, voire des
années.

Pour ne pas les confondre, on peut essayer de remplacer voire par "et
même". Lorsque ce n'est pas possible, il s'agit du verbe voir.




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الإثنين يوليو 05, 2010 6:59 am
Les règles
orthographiques

Règle générale d'accentuation
On ne met pas d'accent sur une voyelle suivie d'une consonne doublée ou
d'un x :
- s'efforcer, examiner...

Sauf dans le cas où l'accent sert à différencier un verbe d'un
autre :
- que je crûsse (imparfait du
subjonctif du verbe croître)

Verbes avec un e muet
Devant une syllabe contenant un e muet, on écrit è et non é : évènement
(note : événement est l'orthographe la plus répandue) comme avènement,
cèdera comme lèvera, etc.
Exceptions :
a) les préfixes dé- et pré- (dégeler, prévenir, etc.) ;
b) les é initiaux (échelon, édredon, élever, etc.) ;
c) médecin et médecine.
Dans les verbes terminés à l'infinitif par -eler et -eter, le e du
radical se change en è quand la syllabe qui suit contient un e muet : il
détèle, il époussète ; il détèlera, etc. Les noms en -ment s'écrivent
comme le verbe.
Exceptions : appeler, jeter et les verbes de leurs familles (y compris
interpeller) redoublent l ou t devant une syllabe contenant un e muet :
j'appelle, je jette, j'appellerai, etc.
Note : Ceci fait partie des modifications orthographiques de
1990, les anciennes formes sont encore tolérées.
Verbes avec le préfixe "dé"
Lorsqu'un verbe commence par le préfixe dé, il prend normalement un
accent : déranger...
Sauf dans le cas où un s de liaison apparaît. On écrit alors des avec 2 s
pour former le son s :
- dessécher, dessaisir,
desservir, dessabler...

Et on écrit dé lorsque l'on entend le son Z :
- désunir, déshabiller,
désaccord, déshonneur...

Verbes à la forme interrogative
Lorsque le verbe se termine par un e final, un accent grave apparaît
dans la nouvelle orthographe afin de tenir compte des sonorités. Ainsi
écrit-on au subjonctif : puissè-je, aimè-je...
L'accent circonflexe
L'accent circonflexe (parfois appelé "le chapeau" pour faire moins
scientifique) peut se placer sur toutes les voyelles sauf le y : â, ê,
î, ô et û.
Son rôle est multiple puisqu'il est à la fois historique, il sert
également à distinguer les mots et il fait partie des terminaisons
normales de certains temps.
L'accent circonflexe historique
Dans le cas de certains mots, l'accent circonflexe provient de
l'évolution de la langue. Il remplace souvent le e et le s de certains
mots. On retrouve cependant l'ancienne orthographe dans le dérivé du mot
(forêt/forestier) ce qui permet de deviner la place de l'accent :
- âge s'écrivait autrefois eage
- tête s'écrivait autrefois
teste

- forêt, forestier
- vêtement, vestimentaire
- hôpital, hospitalier
- fenêtre, défenestrer
Cette évolution nous viendrait du moyen-âge. À cette époque,
le papier était rare et l'imprimerie n'existait pas. Pour économiser de
la place, les moines chargés de recopier les livres remplaçaient parfois
le s de certains mots par un s au dessus de la consonne. Au fur et à
mesure, le s est devenu un ^ jusqu'à ne plus prononcer le s de ces mots.
L'accent circonflexe de différenciation
Pour d'autres cas au contraire, l'accent circonflexe permet de faire la
différence entre deux mots. Typiquement, le participe passé de devoir
est dû afin de ne pas le confondre avec l'article du (du pain).
- que je crûsse (imparfait du
subjonctif du verbe croître)

- crû (participe passé de
croître) à distinguer de cru (verbe croire et adjectif)

- le nôtre et le vôtre à
distinguer des pronoms possessifs notre et votre

L'accent circonflexe des terminaisons
Lorsque le "i" est suivi d'un "t", on retrouve un accent circonflexe.
Par exemple pour les verbes en aître et oître : il disparaît, il
croît...
Note : cette forme tend à progressivement disparaître car
l'Académie Française recommande de ne plus mettre l'accent circonflexe
sur ces verbes : apparaitre, il apparait, comparaitre, il connait,
croitre etc. Mais attention si vous les utilisez, sachez les justifier!
Et enfin à l'imparfait du subjonctif :
- qu'il mangeât
- qu'il eût mangé
- il fût venu
Le tréma
Le tréma peut se placer sur les voyelles a, e, u et i : ä, ë, ü
et ï.
Il sert à indiquer que la voyelle qui les précède immédiatement
doit être prononcée séparément.
Sur le « e » de :
- aiguë, ambiguë, exiguë, contiguë, canoë, Israël, Noël...
Sur le « i » de :
- haïr, maïs, ouïe, inouï, coïncider, coïnculper...
mais : coincer...
Sur le « u » de :
- capharnaüm...
La cédille
En français, la cédille se place uniquement sous la lettre c devant les
voyelles a, o et u. Elle permet de transformer le son k en s. Elle
apparaît systématiquement à certaines formes de conjugaison afin de
respecter le son s du verbe.
- je plaçais
- nous placions
- j'ai reçu
Le trait d'union avec en
Lorsque en est placé en début de phrase, il n'y a pas de trait d'union
avec le verbe :
- en venant
- en marchant
- s'en aller
Par contre, lorsque le pronom en est placé juste après le verbe, on met
un trait d'union entre le verbe et le pronom :
- viens-en au fait
- vends-en un peu
Lorsque le verbe ne se termine pas par un s, on ajoute un s à la fin du
verbe afin de tenir compte des sonorités. On dit qu'il s'agit d'une
raison euphonique :
- donnes-en mais donne
- gardes-en un peu mais
garde-les

À l'impératif avec le pronom personnel de la seconde personne
(toi), le pronom se change en t' devant le en :
- va-t'en
- convaincs-t'en
Le trait d'union avec y
Avec le pronom y, on retrouve les mêmes règles qu'avec en.
- vas-y mais va
- rends-t'y
- allons-y
- nous y allons
Le trait d'union avec non
Lorsque non est suivi par un verbe à l'infinitif, on ajoute un
trait d'union avec le verbe. Si le verbe n'est pas à l'infinitif, il n'y
a pas de trait d'union.
- une fin de non-recevoir
- un devoir non achevé
À noter que ceci n'est valable que pour un verbe puisque pour
les noms, on peut avoir un trait d'union : un non-dit, une zone de
non-droit, un non-fumeur, etc.
Le trait d'union avec l'impératif
Les pronoms personnels situés après un impératif se joignent à lui et
entre eux par un trait d'union.
- allons-nous-en
- prête-le-moi
- vends-lui-en
La seule exception est avec pronom en et y avec toi puisque celui-ci se
change en t'.
- va-t'en
- rends-t'y
Cependant, si ces pronoms personnels se rapportent à un infinitif placé
après l'impératif, les traits d'union disparaissent.
- viens me le dire
- laisse-moi la regarder
Pour déterminer si un pronom personnel se rapporte ou non au verbe, il
faut mettre la phrase à l'indicatif. Les pronoms situés avant le verbe
conjugué se rapportent à celui-ci et seront donc liés par trait d'union à
l'impératif.
- viens me le dire (tu viens me
le dire)

- laisse-moi la regarder (tu me
laisses la regarder)

- regarde-le chanter (tu le
regardes chanter)

Le trait d'union dans les questions
Il existe plusieurs façons de poser les questions en français. La plus
familière est de poser la question sur le modèle sujet + verbe +
complément + ?. L'intonation de la voix détermine alors qu'il s'agit
d'une question.
Une autre forme, plus soutenue, consiste à faire précéder le verbe de est-ce
que
+ sujet + verbe + complément + ?.
Enfin, la forme la plus soutenue est celle de l'inversion du sujet. Un
trait d'union apparaît entre le verbe et le sujet qui se retrouve alors à
droite du verbe : verbe + trait d'union + sujet + complément + ?. Pour
des raisons de sonorité, il est possible qu'un trait d'union apparaisse
avec la troisième personne du singulier. De même, un accent grave peut
apparaître au présent de l'indicatif lorsque le verbe est terminé par un
e. Cette forme fait l'object d'une section de grammaire spéciale tant
elle pose de questions.
- Tu viendras ?
- Est-ce que tu viendras ?
- Viendras-tu ?
- Viendra-t-il ?
- Puisse-t-il venir ?
- Puissè-je venir ? (nouvelle
orthographe)

- Puissé-je venir ? (ancienne
orthographe)

On remarque que pour des raisons de sonorité, un t apparaît lors de
l'inversion du sujet à la troisième personne avec il, elle, on, ils et
elles. Ceci se produit dans tous les cas sauf devant un t ou un d. En
effet, même si on a un d, on a un affaiblissement de la prononciation et
on le prononce comme un t. On note le cas de convaincre, qui se
terminant par un c, a besoin d'un t lors de l'inversion du sujet. On
remarque le trait d'union entre chaque mot.
- convainc-t-il ?
- prend-il ?
- cueille-t-il ?
- peut-il ?
La forme interrogative soutenue
La forme interrogative la plus soutenue est celle de l'inversion du
sujet. Un trait d'union apparaît entre le verbe et le sujet qui se
retrouve alors à droite du verbe : verbe + trait d'union + sujet +
complément + ?. La règle est relativement simple dans la plupart des cas
sauf dans celui de l'indicatif présent à la première personne du
singulier. Autant le dire tout de suite, cette forme pose bien des
questions et il est difficile d'y trouver des réponses.
Lorsque le pronom je est placé après le verbe, le e final devient
tonique et est remplacé traditionnellement dans l'écriture par le é pour
refléter sa prononciation. Avec la réforme de l'orthographe, on peut
également le remplacer par un è. Les règles qui suivent ne sont pas
modifiées.
- Eussé-je autant aimé l'enfant
née d'un mariage heureux ? (Mauriac)

- Ô puissé-je, en
expiation, souffrir de longues heures. (Proust)

- Aussi bien préféré-je...
(Gide).

Cette construction reste cependant très littéraire et est peu employée
dans le langage courant si ce n'est justement pour provoquer un effet de
moquerie vis-à-vis du "beau langage". Les seules inversions qui sont
véritablement employées à l'oral sont extrêmement rares. Citons le cas
des verbes du troisième groupe monosyllabiques : dis-je, puis-je,
vais-je, dois-je, ai-je et suis-je
qui sont à peu près les seules à
être utilisées fréquemment. Des formes comme viens-je ou cours-je
sont remplacées par est-ce que je viens, est-ce que je cours
pour éviter l'effet de plaisanterie.
On considère comme un barbarisme littéraire la solution consistant à
modeler les verbes irréguliers sur les verbes en -er : "Metté-je"
(Balzac), "Voulé-je" (Giraudoux), "Ecrivé-je" (Queneau). Ce barbarisme
n'est pas récent et peu recommandé.
L'ajout de la finale en é peut entraîner des modifications phoniques ou
graphiques. D'une manière générale, les modifications orthographiques
précédemment en usage ne sont pas reprises :
- aie > ayé : je paie >
payé-je

- aie > ayé : j'essaie >
essayé-je

- oie > oyé : je broie >
broyé-je

- oie > oyé : je nettoie >
nettoyé-je

- oie > oyé : j'essuie >
essuyé-je

- oie > oyé : j'ennuie >
ennuyé-je

- è...e > e...é : je mène
> mené-je

- è...e > e...é : je pèse
> pesé-je

- è...e > é...é : j'altère
> altéré-je

- è...e > é...é : je
désespère > désespéré-je

- eler : j'appelle >
appelé-je

- eter : je jette > jeté-je
Enfin, notons que seuls les modes indicatif et conditionnel peuvent
prendre la forme interrogative (on trouve parfois, dans la langue
littéraire, le plus-que-parfait du subjonctif, avec valeur de
conditionnel passé (Eût-il dormi autant ?).
La Phonétique
Une règle simple pour se rappeler l'orthographe de certaines
conjugaisons est de connaître quelques règles de phonétique de la
langue. En effet, certaines lettres se modifient ou apparaissent afin de
conserver le son du verbe à d'autres formes.
Sons gue et ge
Tous les verbes en -guer comme fatiguer par exemple conservent leur u à
toutes les conjugaisons. Quant aux verbes en ger, il faut parfois
ajouter un e devant la terminaison standard afin de conserver le son j
devant les voyelles a, o et u seulement. Le son j n'est pas modifié
devant le e et le i.
- je mange, je mangeais -
Elles se blasent ainsi souvent d'elles-mêmes en fatiguant leurs
désirs dans le vide" (BALZAC, Illus. perdues, 1843).

Sons se et ze
On obtient le son se quand la syllabe commençant par la lettre s se
trouve au début d'un mot ou suit une autre syllabe se terminant par une
consonne.
- servir, danser
On obtient le son se en doublant le s qui se trouve entre deux voyelles
(s seul donnant ze).
- positiver, posséder
Les exceptions concernent surtout les mots créés à partir des préfixes
comme dé- ou re-.
- resaler, resurgir,
sulfurer






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الإثنين يوليو 05, 2010 7:00 am
Les accords

Accord avec le sujet : règle générale
En règle générale, le verbe s'accorde avec son sujet. On peut le repérer
en posant la question : "Qui est-ce qui ?" ou "Qu'est-ce qui ?".
Dans le cas où il y a plusieurs sujets, on considère qu'il s'agit d'un
pluriel. Pour le genre, désolé mesdames mais le masculin l'emporte. Il
suffit d'un seul sujet masculin au milieu de 10 sujets féminins pour que
le masculin l'emporte.
- le cheval est blanc.
- le cheval et le mur sont
blancs.

- les guitares sont neuves.
- la guitare et la sono sont
neuves.

- la guitare et le violon sont
neufs.

Accords difficiles avec un sujet
Lorsque le sujet se compose d'une partie au singulier et d'une partie au
pluriel, on a le choix de l'accord en fonction du sens.
- Le groupe des bleus partira en
premier.

- Un petit groupe d'enfants se
faufilent au premier rang.

Lorsque le sujet comprend des expressions de quantité comme : peu,
beaucoup, trop, la plupart, assez, combien, l'accord se fait au pluriel.
Mais avec un nom au singulier, l'accord se fait au singulier.
- La plupart des gens font leurs
courses le samedi.

- Trop de pluie inonde les sols.
Lorsque le sujet est un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où,
auquel, duquel...), le verbe être s'accorde avec son antécédent. Si
celui-ci est pluriel, l'accord est au pluriel.
- Il aime les chats qui sont
noirs.

- La palette de couleurs qui est
utilisée est jolie.

C'est, ce sont, c'était, c'étaient : le verbe être s'accorde avec
l'attribut du sujet. Mais avec nous et vous le verbe être reste au
singulier.
- Ce sont eux qui ont gagné.
- C'est nous qui avions raison.
Accords difficiles avec plusieurs sujets
Quand les verbes sont à des personnes différentes, le "tu" l'emporte sur
le "il". Le "je" l'emporte sur le "tu". Pour simplifier "je" puis "tu"
puis "il".
- Paul reste.
- Paul et toi restez.
- Paul et moi restons.
- Paul, toi et moi restons.
Avec plusieurs sujets, l'accord se fait au pluriel si les sujets
s'additionnent. Avec ou, il n'y a pas d'addition mais une sélection
entre les deux sujets. Avec et, ni, comme, avec, il y a addition.
Attention à la ponctuation pour voir l'addition.
- Le blanc et le noir me vont.
- Ni le blanc ni le noir ne me
vont.

- Le blanc ou le noir me va.
- Le blanc comme le noir me
vont.

- Le blanc, avec le pull, me va.
Accord du participe passé
L'accord du participe passé constitue l'une des plus grandes difficultés
du français car il faut bien souvent réfléchir à la fonction de chacun
des mots dans la phrase. À l'oral, surtout avec l'auxiliaire
avoir, les accords ne sont pas toujours faits correctement mais à
l'écrit, cela ne pardonne pas. Voici un tableau qui reprend les
principales règles d'accords :
Emploi
Avec être et les verbes d'état
Avec Avoir
Seul
Règles d'accord
avec le sujet
avec le COD si celui ci précède le verbe
avec le nom dont il est épithète (se comporte comme un adjectif
qualificatif.)
Exemple
elles sont rentrées,

elles semblent fatiguées
ils ont gagné : pas de COD => pas d'accord

ils ont combattu toute une armée
le COD suit le verbe => pas d'accord

toute l'armée qu'ils ont combattue
Le COD est mis avant le verbe
=> accord
Rentrées, les filles se reposent.

NB n°1 : la principale difficulté de l'accord du participe passé
consiste à bien repérer les COD antéposés, surtout les pronoms
personnels et relatifs.
NB n°2 : on notera que dans le cas des verbes d'état, il ne
s'agit pas du verbe d'état mais d'un attribut. On parle aussi de verbes
attributifs.
ils nous ont devancés
Les devoirs que tu as
faits sont bons.

L'auxiliaire avoir
L'auxiliaire avoir est utilisé dans la formation des temps composés
comme le passé composé : j'ai chanté.
Il existe seulement deux auxiliaires en français : avoir et être.
Avoir s'emploie principalement avec les temps composés : j'ai mangé,
il aurait su...
Pour former le temps composé, on conjugue l'auxiliaire avoir et on lui
ajoute le participe passé du verbe.
Avoir avec les verbes d'action
Avoir s'emploie lors de la conjugaison des verbes d'action. Pour
les verbes d'état, on utilise plutôt l'auxiliaire être.
Même si la grande majorité des verbes sont des verbes d'action qui ne se
conjuguent qu'avec l'auxiliaire avoir, certains verbes acceptent les
deux auxiliaires indifféremment en changeant néanmoins de sens.
Avec avoir, les verbes suivants expriment une action alors qu'ils
expriment le résultat de cette même action lorsqu'ils s'emploient avec
être.
aborder crever expirer
descendre changer enlaidir
rajeunir vieillir maigrir
...
Ex: J'ai descendu le
piano.

Je suis descendu.
Cette liste ne se veut pas exhaustive et il existe de nombreux verbes de
ce genre.
L'auxiliaire être
Il existe seulement deux auxiliaires en français : avoir et être.
Tout comme avoir, être s'emploie également pour former les temps
composés de certains verbes.
On dit ainsi je suis tombé ou je suis venu. Il s'agit là
de la conjugaison normale du verbe et on n'utilise jamais l'auxiliaire
avoir pour ces verbes.
Les verbes qui ont cette particularité sont des verbes d'état,
c'est-à-dire qu'ils ne désignent pas une action mais un état. Parmi ces
verbes, on retrouve:
mourir naître tomber devenir
venir partir arriver aller
...
Cette liste ne se veut pas exhaustive et il existe de nombreux autres
verbes d'état.
Il existe cependant un moyen mnémotechnique pour se rappeler des verbes
prenant l'auxiliaire être au passé. Ceci est surtout enseigné pour les
gens apprenant le français mais c'est intéressant même pour un
francophone. Il faut se rappeler de DR MRS VANDERTRAMP. Chacune des
premières lettres correspond à un verbe d'état :

Devenir



Revenir



Monter



Rester



Sortir



Venir



Aller



Naître




Descendre



Entrer



Retourner



Tomber



Rentrer



Arriver



Mourir



Partir



Être avec la forme passive
Être peut également s'employer avec les verbes transitifs, ie
suivis par un COD, pour rendre le sujet passif.
Voix active : le chat mange
la souris

Voix passive : La souris est
mangée
par le chat.

Lorsque l'auxiliaire être est employé dans la conjugaison, le sujet
subit l'action alors qu'il en est l'acteur avec l'auxiliaire avoir.
Cette transformation n'est possible que dans le cas où le verbe est
suivi par un complément d'objet direct (COD). Le complément se
transforme alors en un complément d'agent.
Enfin, le dernier point que l'on peut noter est l'accord du participe
passé avec le sujet avec la forme passive.
Participe passé suivi d'un infinitif
Lorsque le participe passé est suivi immédiatement par un infinitif, il
faut se poser la question de qui fait l'action indiquée par l'infinitif.
Si le sujet fait l'action du participe passé, alors on l'accorde.
- la personne que j'ai entendue
parler (c'est la personne qui parle)

- la chanson que j'ai entendu
chanter (la chanson est chantée)

Fait et laissé
Les cas d'accord de fait et laissé suivis par un infinitif prêtent
souvent à confusion. C'est pourquoi, l'Académie Française recommande
dans la réforme de 1990 de les considérer comme invariables lorsqu'ils
sont suivis d'un infinitif avec l'auxiliaire avoir ou dans la forme
pronominale.
- elles se sont fait prendre
- elle s'est laissé séduire
- je les ai fait venir
- la lettre que j'ai fait partir

Eu à, donné à
Ces participes passés suivis d'un infinitif s'accordent si le nom (ou le
pronom) qui précède est senti comme le COD du participe :
- les problèmes qu'il a eu à
résoudre (il a eu quoi ? à résoudre des problèmes)

- l'auto qu'on lui avait donnée à
réparer (on lui avait donné quoi ? une auto à réparer)

Le verbe à l'infinitif peut aussi être sous-entendu :
- j'ai fait tous les efforts que
j'ai pu... (que j'ai pu faire)


Accord à la forme pronominale
Le participe passé des verbes pronominaux suit une règle d'accord
différente de celle de l'auxiliaire être même si la forme pronominale
est formée avec être. Globalement et avant de rentrer dans le détail, il
faut faire l'accord comme s'il s'agissait de l'auxiliaire avoir.
Accord avec le sujet
Les verbes pronominaux de sens passif ou neutre n'ayant pas de
complément d'objet COD ou COI se conjuguent avec le sujet.
Les verbes essentiellement pronominaux c'est-à-dire ne se conjuguant
qu'à la forme pronominale (s'enfuir) se conjuguent avec le sujet.
- nous nous sommes méfiés.
(verbe essentiellement pronominal)

- la guitare s'est vendue
facilement. (verbe de sens passif)

- ils se sont aperçus du
problème. (verbe de sens neutre)

Verbes de sens réfléchi et de sens réciproque
On accorde le participe passé avec le complément d'objet direct (COD) si
celui-ci est placé avant le verbe (comme pour les verbes conjugués avec
avoir). Le COD peut être le pronom réfléchi ou un autre mot de la
phrase. En général, on reconnaît un COD en se posant la question quoi ?
Ces verbes sont dits transitifs.
Si le complément qui suit est un complément d'objet indirect (COI),
comme avec avoir, il n'y a pas d'accord. Les COI sont introduits par des
prépositions comme à, de, par etc. Ces verbes sont dits intransitifs.
- ils se sont habillés.
===> verbe de sens réfléchi
- nous nous sommes rencontrés.
===> verbe de sens réciproque
- voici les vêtements qu'il
s'est achetés.

accord avec vêtements, COD placé
avant le verbe

- ils se sont acheté des
vêtements.

===> COD après le verbe : pas
d'accord

- ils se sont plu.
===> verbe intransitif, pas
d'accord

- les secondes se sont succédé.
===> verbe intransitif, pas
d'accord

Verbes pronominaux suivis d'un infinitif
On accorde le participe passé avec le COD placé avant le verbe si le COD
fait l'action exprimée par l'infinitif (comme avec l'auxiliaire avoir)
- Nous nous sommes entendus
chanter à la radio.

===> infinitif : action de
chanter faite par le COD (nous), accord

- Nous nous sommes vu féliciter
par le moniteur.

===> infinitif : l'action est
portée sur voir, pas d'accord

Accord avec le pronom on
L'accord avec le pronom on dépend largement de ce à quoi il se rapporte.
Lorsque on = tout le monde, les gens en général, on remplace le
il et est de la troisième personne du singulier. On notera que cet usage
de on est soutenu.
- Dans ce pays on dîne à 20h. -
On dit que de tous les peuples de la Gaule les Belges sont les plus
braves.

On peut également se mettre à la place de nous. L'accord se fait
alors comme si le on était de la première personne du pluriel avec les
participes passés. Cet emploi de on se fait à l'oral. On préfère
largement utiliser le on à la place du nous à l'oral.
- on est allés à la plage hier,
j'en suis encore fatigué. - on est rentrés tard cette nuit.

Dans un sens proche de l'ironie, on peut également se mettre à la place
de tu et vous. Il remplace alors une deuxième personne.
- C'est à cette heure-ci qu'on
arrive. - Alors, on n'a pas fait aujourd'hui ?

Enfin, le tableau ne serait pas complet si on ne remplaçait pas le je.
L'accord est alors comme la première personne.
- Deux secondes, on arrive.
- On fait ce qu'on peut.
Dans toutes les conjugaisons de on, la marque de la personne se fait
uniquement sur le participe passé. Le verbe ou l'auxiliaire est toujours
à la troisième personne du singulier.
Zico
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الإثنين يوليو 05, 2010 7:02 am
Formation des temps

Terminaisons au présent de l'indicatif
Verbes du premier groupe
Les verbes du premier groupe ont les terminaisons suivantes. Les
exceptions concernent surtout les modifications orthographiques que cela
engendrent.
-e -es -e -ons -ez -ent
Verbes du second groupe
Les verbes du deuxième groupe suivent la règle générale. La seule
exception est haïr qui garde un tréma dans de nombreuses terminaisons.
-s -s -t -ssons -ssez -ssent
Verbes du troisième groupe
Au présent de l'indicatif, la plupart des verbes du troisième groupe ont
les terminaisons suivantes :
-s -s -t -ons -ez -ent
Les verbes en -dre comme vendre, perdre, coudre se terminent par :
-ds -ds -d -ons -ez -ent
Sauf les verbes en -aindre, -eindre, -oindre, -soudre comme craindre,
peindre, joindre, résoudre qui eux suivent la règle générale :
-s -s -t -ons -ez -ent
Les verbes pouvoir, vouloir, valoir se terminent à l'écrit par :
-x -x -t -ons -ez -ent
Les verbes ouvrir, cueillir se terminent au présent comme les verbes du
1er groupe :
-e -es -e -ons -ez -ent
Encore une petite exception avec vaincre qui garde son c dans sa
conjugaison et qui parfois se transforme en qu- :
-cs -cs -c -quons -quez -quent
Le futur simple
Le futur simple et le conditionnel présent se forme de la même manière à
partir de l'infinitif du verbe. Ces deux temps ont été étymologiquement
formés de la même manière à partir des terminaisons de l'auxiliaire
avoir.
Afin de ne pas faire d'erreur, comparez bien les terminaisons entre le
futur simple et le conditionnel présent :
- pour le futur simple : j'aimerai, tu aimeras, il aimera,
nous aimerons, vous aimerez, ils aimeront
- pour le conditionnel : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait,
nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient
À la première personne du singulier, la prononciation est
légèrement différente. Le futur a un son [é] légèrement fermé tandis que
le conditionnel à un son [è] ouvert. Ceci permet de les différencier.
Si ce n'est pas suffisant, le plus simple est d'essayer de mettre la
phrase à la deuxième personne du singulier. Si on obtient une
terminaison en -as, on a bien un futur simple et non pas un
conditionnel.
Voici les terminaisons du futur simple :

Personne
Verbe du 1er groupe
Verbe du 2e groupe
Verbe du 3e groupe
je
radical + erai
radical + irai
radical + rai
tu
radical + eras
radical + iras
radical + ras
il/elle/on
radical + era
radical + ira
radical + ra
nous
radical + erons
radical + irons
radical + rons
vous
radical + erez
radical + irez
radical + rez
ils/elles
radical + eront
radical + iront
radical + ront

Le futur antérieur
Le futur antérieur se forme assez simplement. On prend l'auxiliaire au
futur simple et on ajoute le participe passé du verbe à conjuguer.
Le futur du passé
Lorsqu'une action survient dans le passé, on peut exprimer un événement
futur par rapport à cette action en utilisant le futur du passé. Le
futur du passé se forme simplement en utilisant le conditionnel. Le
conditionnel présent correspond au futur du passé et le conditionnel
passé correspond au futur antérieur du passé.
Il dit (présent) qu?il viendra
(futur) avec nous.

Il a déclaré (passé) qu?il
viendrait (conditionnel) avec nous.

Le futur proche
Le futur proche n'est pas à proprement parler un temps du futur. Voilà
pourquoi il ne figure pas dans la liste des conjugaisons. Il s'agit
plutôt d'une tournure de phrase.
Le futur proche se construit avec aller + infinitif. Il permet
d'exprimer :
- un événement sur le point de se produire
- quelque chose que l'on va immédiatement faire.
- un projet ou des prévisions
Exemples :
Je vais souffler les bougies.
Il va bientôt arriver.
Les copains vont faire une drôle de tête.

Le passé proche
Si le futur proche n'est pas un temps à part entière, il en va de même
pour le passé proche. Il se forme simplement avec le verbe venir au quel
ajoute l'infinitif d'un verbe : venir de + infinitif. Il permet
d'exprimer une action venant juste de se terminer.
Exemples :
Je viens d'arriver.
Il vient de mettre la machine à laver.

Formation de l'imparfait
Tous les verbes ont la même terminaison à l'imparfait sans exception :
-ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient
1er groupe
2e groupe
3e groupe
j'aimais
tu aimais
il aimait
nous aimions
vous aimiez
ils aimaient
je finissais
tu finissais
il finissait
nous finissions
vous finissiez
ils finissaient
je venais
tu venais
il venait
nous venions
vous veniez
ils venaient

Remarques : certains verbes subissent une modification de radical
mais il existe un moyen très simple de s'en rappeler : on part du
présent de l'indicatif de la 1re personne du pluriel et on retire la
terminaison -ons. Une seule exception : le verbe être.
dire
je disais
paraître
je paraissais
boire
je buvais
coudre
je cousais
écrire
j'écrivais
faire
je faisais
fuir
je fuyais
comprendre
je comprenais
voir
je voyais
éteindre
j'éteignais

Attention : Ne pas confondre présent et imparfait pour les verbes
en -ier, -yer, -gner, -illier
Présent
Imparfait
nous crions
nous criions
vous criez
vous criiez

Formation du passé simple
Selon la voyelle de terminaison, on distingue trois types de passé
simple :
passé simple en -a pour les verbes du 1er groupe : il aima
passé simple en -i pour les verbes du 2e groupe et pour certains verbes
du 3e groupe : elle finit, elle fit
passé simple en -u pour certains verbes du 3e groupe : elle put
j'aimai
tu aimas
il aima
nous aimâmes
vous aimâtes
ils aimèrent
je finis
tu finis
il finit
nous finîmes
vous finîtes
ils finirent
je pus
tu pus
il put
nous pûmes
vous pûtes
ils purent

Remarques : Les verbes tenir et venir ainsi que leurs composés
ont un passé simple en -in :
je tins
tu tins
il tint
nous tînmes
vous tîntes
ils tinrent
je vins
tu vins
il vint
nous vînmes
vous vîntes
ils vinrent

Attention : ne pas confondre le passé simple du verbe être (je
fus) avec celui du verbe faire (je fis)
Le subjonctif présent
Pour les verbes du premier groupe et les verbes du troisième groupe en
-ir, les trois personnes du singulier ainsi que la troisième personne du
pluriel sont identiques à celle du présent de l'indicatif. Pour les
première et deuxième personnes du pluriel, les terminaisons sont
identiques à l'imparfait du subjonctif. En effet, un i apparaît.
Pour les autres verbes, le radical est souvent différent au subjonctif
présent par rapport au présent de l'indicatif (je le sais et il faut
qu'il le sache
). Souvent les deux premières personnes du pluriel
sont les mêmes avec l'imparfait de l'indicatif. Enfin, dans la majorité
des cas, la troisième personne du pluriel est identique avec le présent
de l'indicatif dans la majorité des cas.
Voici les terminaisons du présent du subjonctif :

Personne
Verbe du 1er groupe
Verbe du 2e groupe
Verbe du 3e groupe
je
radical + e
radical + isse
radical + e
tu
radical + es
radical + isses
radical + es
il/elle/on
radical + e
radical + isse
radical + e
nous
radical + ions
radical + issions
radical + ions
vous
radical + iez
radical + issiez
radical + iez
ils/elles
radical + ent
radical + issent
radical + ent

Le subjonctif imparfait
L'imparfait du subjonctif est souvent vu comme un temps compliqué.
Pourtant, même s'il ne s'utilise plus à l'oral, il est bien vivant à
l'écrit surtout dans sa troisième forme du singulier. Les autres formes
sont nettement plus rares. Mais il arrive parfois qu'un écrivain ou un
orateur utilise une de ces formes pour relever le niveau de son langage
et obtenir ainsi un niveau de langue plus que soutenu. Snobisme ou pas,
il n'empêche qu'une fois qu'on le connaît, l'imparfait du subjonctif
n'est pas si compliqué que ça.
L'imparfait du subjonctif se forme à partir de la troisième personne du
singulier du passé simple. On ajoute ensuite les terminaisons qui sont
toujours les mêmes aux trois groupes : -sse, -sses, -^t
(attention à l'accent circonflexe), ssions, ssiez, ssent. Notez
bien qu'à la troisième personne du singulier, on ajoute un accent
circonflexe.
Je souhaitais qu'il comprît
la leçon.

Il fallait qu'il jouât.
Il fallait que je lui rendisse
son bien.

Il y a si peu d'exception dans les terminaisons de l'imparfait du
subjonctif que cela en devient... une exception avec tenir et venir. En
effet, on écrit "que je tinsse" et "que je vinsse" avec
deux s devant un n. Ce n'est pas une erreur, c'est l'application à la
lettre de la règle de formation de l'imparfait du subjonctif.
Voici la conjugaison à l'imparfait du subjonctif de quelques verbes :

Personne
Aimer
Finir
Tenir
que je
que tu
qu'il
que nous
que vous
qu'ils
aim - a - ss - e
aim - a - ss - es
aim - â - t
aim - a - ss - i - ons
aim - a - ss - i - ez
aim - a - ss - ent
fini - ss - e
fini - ss - es
finî - t
fini - ss - i - ons
fini - ss - i - ez
fini - ss - ent
t - in - ss - e
t - in - ss - es
t - în - t
t - in - ss - i - ons
t - in - ss - i - ez
t - in - ss - ent
Personne
Ouvrir
Pouvoir
Venir
que je
que tu
qu'il
que nous
que vous
qu'ils
ouvr - i - ss - e
ouvr - i - ss - es
ouvr - î - t
ouvr - i - ss - i - ons
ouvr - i - ss - i - ez
ouvr - i - ss - ent
p - u - ss - e
p - u - ss - es
p - û - t
p - u - ss - i - ons
p - u - ss - i - ez
p - u - ss - ent
v - in - ss - e
v - in - ss - es
v - în - t
v - in - ss - i - ons
v - in - ss - i - ez
v - in - ss - ent

Le conditionnel présent
Le conditionnel existe sous trois temps : le présent, le passé première
forme et le passé deuxième forme.
Le conditionnel présent est formé comme le futur simple, mais avec les
terminaisons de l'imparfait. On retrouve ainsi toutes les irrégularités
et les exceptions du futur.
Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au
conditionnel : J'ir-ais.

Personne
Verbe du 1er groupe
Verbe du 2e groupe
Verbe du 3e groupe
je
radical + erais
radical + irais
radical + rais
tu
radical + erais
radical + irais
radical + rais
il/elle/on
radical + erait
radical + irait
radical + rait
nous
radical + erions
radical + irions
radical + rions
vous
radical + eriez
radical + iriez
radical + riez
ils/elles
radical + eraient
radical + iraient
radical + raient

Le conditionnel passé
Le conditionnel passé première forme se forme en prenant l'auxiliaire
adéquat au conditionnel présent + participe passé. Il s'agit de
la forme la plus souvent utilisée.
Le conditionnel passé deuxième forme se forme en prenant l'auxiliaire
adéquat à l'imparfait du subjonctif + participe passé. Une autre
manière de s'en souvenir est de se dire qu'il est identique au
subjonctif passé sans la préposition "que". Cette forme est plus
utilisée à l'écrit. Il s'agit d'une forme de langage très soutenue.
Formation de l'impératif
L'impératif existe sous deux temps : le présent et le passé. On ne
s'étendra pas davantage sur l'impératif passé car personnellement, je ne
l'ai jamais vraiment beaucoup rencontré. Disons simplement qu'il se
forme avec l'auxiliaire être et avoir. (Aie rangé tes affaires quand
j'arrive
).
La principale caractéristique de l'impératif est de n'exister qu'aux
personnes : tu, nous et vous. Il permet d'exprimer un ordre, donner un
conseil ou faire une suggestion.
En général, l?impératif est identique au présent de l'indicatif à
l'exception près qu'il n'a pas de sujet. La seule règle par rapport au
présent est la disparition du s final de la deuxième personne pour tous
les verbes se terminant par un e (verbe en -er y compris aller et
certains verbes du troisième groupe comme cueillir). Sauf devant en et y
où l'on garde le s pour une raison de sonorité (voir la note de
grammaire à ce sujet).
- Cueille des fleurs!
- Va te coucher!
- Allons-y!
- Mangez des pommes!
Formation du participe présent
La règle de base pour construire le participe présent est de prendre le
verbe à la première personne du pluriel de l'indicatif présent et de
remplacer la terminaison ONS par ANT.
ex : fatiguer ==> nous
fatiguons ==> fatiguant

Parce qu'il en faut bien une, une seule exception le verbe savoir : nous
savons ==> sachant
Le gérondif présent se forme ensuite simplement en ajoutant "en" devant
le participe présent ainsi formé.
Zico
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الإثنين يوليو 05, 2010 7:04 am
Emploi des temps

Utilisation de l'indicatif
Le mode indicatif s'utilise partout où on peut exprimer le réel. Il n'y a
pas de place au doute ou à l'incertitude. Pour cela, on préfère
utiliser le conditionnel ou le subjonctif.
On a quatre temps simples à l'indicatif (le présent, l'imparfait, le
passé simple et le futur simple) et quatre temps composés (passé
composé, plus-que-parfait, le passé antérieur et le futur antérieur) qui
permettent d'exprimer les actions présentes, les actions passées ou les
actions à venir.
L'indicatif est le temps qui permet de saisir les faits, les actes, les
opinions ou les pensées dans leur réalisation. Il s'agit de loin du mode
le plus utilisé dans les besoins de la conversation courante. Il est
également le mode des phrases négatives et interrogatives.
Même dans une proposition subordonnée après "que", on peut retrouver
l'indicatif s'il s'agit d'une action certaine. Dès qu'on introduit le
doute ou la notion de probabilité, on utilise le subjonctif. L'exemple
suivant illustre ceci :
il est probable qu'il viendra.
(indicatif)

il est possible qu'il vienne.
(subjonctif)

On remarquera cependant que dans la langue parlée, on utilise de plus en
plus le subjonctif après le "après que" ce qui n'est pas forcément
juste puisque l'action est déjà terminée donc réelle.
On peut également noter que lorsqu'une proposition est complètement
fausse ou irréelle et que cela ne laisse plus aucun doute, on utilise
l'indicatif à nouveau pour exprimer une réalité : Il s'est mis en
tête qu'elle viendra le voir
.
Utilisation du présent de l'indicatif
Le présent de l'indicatif peut indiquer :
1) des paroles en train d'être prononcées
on le retrouve dans les répliques entre personnages à l'intérieur d'un
même texte au passé :
Quand il entendit la nouvelle, il s'écria : "c'est formidable!"
2) une vérité générale
Les difficultés vinrent de ce que sa maladie n'était pas de celles
que l'on soigne selon les méthodes éprouvées.

en employant le verbe soigner, l'auteur désigne un ensemble de maladies
qui répondent à cette définition.
Le présent de vérité générale est également celui que l'on retrouve dans
les proverbes :
les bons comptes font les bons amis.
et dans les fables :
On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
3) des actions passées que l'on veut faire revivre
Dans un texte au passé, on peut rencontrer un verbe au présent de
narration ce qui rend le récit plus vivant. Ce procédé est souvent
employé par les journalistes pour rendre l'article plus proche du
lecteur. On appelle cela le présent journalistique.
Le pic était juste au dessus de sa tête, et elle ne l'avait pas vu
qu'après avoir pas mal regardé de côtés et d'autres. Suivant ses
pensées, la sage Élise se met à pleurer.

L'emploi du présent traduit mieux que le passé simple la soudaineté de
la réaction de la jeune fille.
4) le passé proche ou le futur proche
Je vais au cinéma, je reviens ce soir.
Le premier verbe désigne une action qui vient de se produire alors que
le second désigne une action qui va se produire bientôt.
Utilisation de l'imparfait
L'imparfait peut indiquer :
- une action du passé dont la durée n'est pas définie
Il prenait son bain.
Elle occupait un poste dans l'administration.
- une action ou un phénomène qui se répète
Le midi, il mangeait dans le parc.
Tous les jours, elle nettoyait les meubles.
- une description
À l'est de l'étang, c'étaient les bruyères et puis les
prairies et les cultures. La ferme s'élevait presque à
l'horizon.
Utilisation du passé simple
Le passé simple peut indiquer :
- une action achevée, par opposition à l'imparfait
Elle était sa femme depuis longtemps quand il lui dit...
- une action soudaine
Il était dans son bain quand le téléphone se mit à sonner.
Sa vie se passait paisiblement quand soudain, il tomba
malade.
On notera que le passé simple ne s'emploie pas à l'oral, seulement à
l'écrit.
Une manière visuelle simple de s'en souvenir est de tracer la ligne de
chacun de ces deux temps. Alors qu'on voit que l'imparfait dure dans le
temps avec des bords flottants, le passé simple quant à lui a une action
bien déterminée dans le temps et permet de marquer une action soudaine.

Utilisation du futur
Le futur peut indiquer :
1) une action qui va se produire considérée comme certaine
Je vais aller à la mairie pour me faire une carte d'identité, ils sauront
me renseigner.

On est sûr d'obtenir une réponse.
Remarque : aller suivi par son propre infinitif désigne un futur
proche : je vais aller.
2) un ordre
Pendant que je fais le ménage, tu feras la vaisselle.
"Tu feras" signifie "fais" et il s'agit d'un ordre.
Utilisation du subjonctif
Le subjonctif est le temps du doute, de l'incertitude et de l'éventuel.
Le subjonctif a quatre temps mais l'imparfait et le plus-que-parfait
sont d'un usage relativement rare surtout à l'oral. Contrairement à
l'indicatif, le temps du subjonctif ne permet pas vraiment de situer
l'action sur la ligne du temps. On met le temps plus pour respecter la
concordance des temps et ainsi reproduire le temps de la proposition
principale. Même le présent et le passé du subjonctif ont plutôt un sens
qui permet de savoir si on parle d'une révolue ou non plus que d'une
pure notion temporelle. Regardez ces deux phrases. On voit clairement
que dans la seconde, on parle d'action achevée plus que de temporalité.
Je veux qu'il voie le résultat
aujourd'hui.

Je veux qu'il ait vu le résultat
aujourd'hui.

Lorsque la proposition principale exprime un sentiment, un désir, un
souhaite, un ordre ou une attente, on utilise également le subjonctif
car on ne peut jamais savoir si cela va se réaliser.
Je souhaite qu'il s'en aille.
On notera que dans certaines conditions, on peut utiliser indifféremment
l'indicatif et le subjonctif. C'est le cas après des verbes tels que
admettre, comprendre, expliquer, supposer ou encore les verbes d'opinion
de façon négative.
Je pense que tu peux le faire.
(indicatif)

Je ne pense pas que tu puisses
le faire. (subjonctif)

Je ne pense pas que tu peux le
faire. (indicatif)

L'imparfait du subjonctif
L'imparfait du subjonctif ne s'emploie plus qu'à l'écrit. On ne le
trouve jamais à l'oral. Pourtant, si on se réfère aux règles de
concordance des temps, il retrouve un grand rôle dans la grammaire
française.
En théorie, lorsque la principale est à l'imparfait, au passé ou au
conditionnel, il faut répercuter cette marque du temps dans la
subordonnée. On utilise alors soit l'imparfait soit le plus-que-parfait
du subjonctif.
- il faudrait qu'il vînt
demain.

- il faudrait pour cela qu'il fût
venu
plus tôt.

- il fallait qu'il vînt
demain.

- il fallait pour cela qu'il fût
venu
plus tôt.

Les deux phrases ci-dessus sont grammaticalement complètement exactes
mais on se rend bien vite compte que plus personne ne s'exprime comme
cela. On préfère ne pas respecter la concordance des temps et l'on dit :
- il faudrait qu'il vienne
demain.

- il faudrait pour cela qu'il soit
venu
plus tôt.

À l'écrit, on retrouve cependant encore l'emploi du
subjonctif imparfait à toutes les personnes pour les auxiliaires avoir
et être et seulement à la troisième personne du singulier pour
les autres verbes.
- Il avait agi ainsi pour que
nous eussions le temps de riposter.

(avoir, toutes les personnes)
- Il nous prévint pour que vous fussiez
en état d'agir.

(être, toutes les personnes)
- Je le prévins pour qu'il sût
à quoi s'en tenir.

(autres, 3e personne du
singulier uniquement)

Pour les autres personnes, on préfère finalement changer la phrase afin
de ne pas alourdir la phrase.
- Il désirait que vous arrivassiez
le plus vite possible.

(correct mais personne ne
l'écrit)

- Il désirait que vous arriviez
le plus vite possible.

(incorrect et mal admis dans la
langue surveillée)

- Il désirait vous voir arriver
le plus vite possible.

(tout à fait correct, on
contourne le subjonctif)

Utilisation du conditionnel
Le conditionnel existe sous trois temps : le présent, le passé première
forme et le passé deuxième forme.
Commençons par le conditionnel présent. Il peut servir à :
Donner une information incertaine, non confirmée.
D?après moi, il serait sur le point de partir.
Exprimer un futur dans le passé
Il dit (présent) qu?il viendra (futur) avec nous.
Il a déclaré (passé) qu?il viendrait (conditionnel) avec nous.
Faire des hypothèses, exprimer une éventualité
Travailler dans le secteur médical me conviendrait.
Demander poliment, proposer, exprimer un souhait, conseiller
Pourriez-vous m?indiquer l'heure, s?il vous plaît.
J?aimerais beaucoup faire du cheval.

Quant au conditionnel passé, il peut servir à :
Donner une information incertaine, non confirmée.
Il aurait demandé à changer de classe.
Exprimer l?irréel du passé (le regret)
J?aurais dû travailler davantage pour réussir mes examens.
Evoquer une action antérieure à une autre action au conditionnel
présent.
Il a dit qu'il viendrait (conditionnel) dès qu'il aurait terminé
(conditionnel passé) ses devoirs.


On remarquera que sur les deux formes du conditionnel passé, le
conditionnel passé première forme est de loin le plus utilisé. La
deuxième forme du passé est utilisée pour marquer un langage soutenu
surtout à l'écrit. Il est d'une utilisation beaucoup plus rare.
Utilisation de l'impératif
L'impératif est le mode par excellente pour exprimer un ordre à la forme
positive ou une défense à la forme négative. L'impératif peut également
s'utiliser pour donner un conseil ou faire une suggestion sous couvert
d'un ordre.
Viens nous voir ! (impératif
d'ordre) Ne viens pas chez nous ! (impératif de défense)

À l'écrit, l'ordre est exprimé à partir de l'infinitif. Ceci
permet d'adoucir un petit peu la notion d'ordre. Un exemple simple est
de prendre un livre de cuisine : Faire bouillir à feu doux est
mieux que Faites bouillir à feu doux.
L'impératif passé est relativement rare mais il permet d'exprimer une
notion d'antériorité par rapport à une autre action :
Ayez fini de ranger votre
chambre à mon retour.

L'impératif n'est pas le seul à permettre d'exprimer l'ordre. Pour des
raisons de politesse, on préfère exprimer un ordre de manière indirecte
souvent par une question :
Pouvez-vous me donner le sel SVP
?

Pourriez-vous venir un instant
SVP ?

Le participe présent et l'adjectif verbal
Attention à bien faire la différence entre le participe présent et
l'adjectif verbal. Leur orthographe ne suit pas les mêmes règles. Le
participe présent est toujours invariable et il exprime une action : des
fillettes tremblant de peur.

Quant à l'adjectif verbal, il indique toujours un état et suit les
règles d'accord de l'adjectif : des fillettes tremblantes.
L'orthographe de l'adjectif verbal et du participe présent ne sont pas
toujours identiques. Par exemple :
Participe présent
Adjectif verbal
adhérant
adhérent
convainquant
convaincant
différant
différent
divergeant
divergent
équivalant
équivalent
fatiguant
fatigant
négligeant
négligent
provoquant
provocant

À noter également les orthographes différentes de certains
noms, différents du participe présent :
Participe présent
Nom
adhérant
un adhérent
différant
un différend
fabriquant
un fabricant
présidant
un président
résidant
un résident
Participe présent
Adjectif verbal
Nom
obligeant
obligeant
l'obligeance
exigeant
exigeant
l'exigence
négligeant
négligent
la négligence

Plus que jamais, il faut bien faire attention à comprendre la phrase à
écrire et la fonction de chaque mot avant de faire les accords.

La concordance des temps
On appelle concordance des temps le mécanisme temporel entre deux verbes
lorsque l'un s'inscrit dans la dépendance syntaxique de l'autre. En
clair et pour ne pas faire trop compliqué, on ne parle de concordance
que lorsqu'il y a une proposition subordonnée.
Je veux qu'il sache.
Je vois qu'il sait.
Ce phénomène n'est pas propre au subjonctif puisque, comme on le voit
dans l'exemple ci-dessus, il intervient aussi à l'indicatif. Cependant,
la concordance des temps présente une grande caractéristique au
subjonctif : un système réduit de concordance.
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الإثنين يوليو 05, 2010 7:05 am
Le système classique de concordance des temps
Dans le tableau suivant, deux paramètres entrent en compte : l'époque à
laquelle s'inscrit le fait principal et le rapport chronologique qui
unit la subordonnée à sa principale.

Temps de la principale
Subordonnée présente ou future
Subordonnée passée
Présent ou futur
je doute
Subjonctif présent
qu'il parte
Subjonctif passé
qu'il soit parti
Passé ou conditionnel
je doutais
Subjonctif imparfait
qu'il partît
Subjonctif plus-que-parfait
qu'il fût parti

Le système réduit de concordance des temps
Cependant pour le subjonctif, on utilise à l'oral et bien souvent à
l'écrit une forme réduite de concordance des temps. Seul compte le
rapport chronologique entre la principale et la subordonnée. Cette forme
réduite n'est pas valable pour l'indicatif.

Temps de la principale
Subordonnée présente ou future
Subordonnée passée
Tous les temps
je doute
Subjonctif présent
qu'il parte
Subjonctif passé
qu'il soit parti


Tableau d'utilisation des temps
Temps simples
À l'oral
À l'écrit
Rare
Indicatif présent
oui
oui

Indicatif imparfait
oui
oui

Indicatif passé simple

oui

Indicatif futur simple
oui
oui

Subjonctif présent
oui
oui

Subjonctif imparfait

oui
oui1
Conditionnel présent
oui
oui

Impératif présent
oui
oui


Temps composés
À l'oral
À l'écrit
Rare
Indicatif passé composé
oui
oui

Indicatif plus-que-parfait
oui
oui

Indicatif passé antérieur

oui
oui
Indicatif futur antérieur
oui
oui

Subjonctif passé
oui
oui

Subjonctif plus-que-parfait

oui
oui
Conditionnel passé 1re forme
oui
oui

Conditionnel passé 2e forme

oui
oui
Impératif passé
oui
oui
oui

1 Ce temps ne s'utilise qu'à la 3e personne du singulier à l'écrit. Les
autres formes sont extrêmement rares.














Les homophones
Les homophones
Les homophones sont tous les mots qui se prononcent de la même façon
mais dont l'orthographe change.
En plus des changements orthographiques, ces mots donnent souvent un
sens différent à la phrase.
Les homophones grammaticaux désignent ainsi des mots au son similaire
mais de différente catégorie grammaticale.
- un bal / une balle (homophone)
- il a un collier à
son cou. (homophone grammatical)

Comment faire la différence entre...

a / à
se / ce
et / est
c'est / s'est
on / ont
leur / leurs
notre / nôtre
ou / où
roder / rôder
À suivre...

Différence entre a et à
Les mots a et à sont des homophones grammaticaux c'est-à-dire qu'ils
n'ont pas la même fonction grammaticale dans la phrase.
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif :
il a.
- à est une préposition.
La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans
un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, a
devient avait tandis que à ne change pas.
On écrit toujours à devant un infinitif et a devant
un participe passé. Pour reconnaître le participe passé de
l'infinitif, on peut prendre un verbe du troisième groupe comme prendre,
vendre, dormir... En plus on obtient l'accord : pris, prise ou prendre.
- il a dit de ne pas s'en faire.
(présent)

- il avait dit de ne pas
s'en faire. (imparfait)


- il ne pense qu'à manger. (On
remplace par un autre verbe)

- il ne pense qu'à dormir.
Utilisation de se et ce
=> se s'emploie devant un verbe pour désigner une action
réfléchie : se lamenter, se raser...
=> ce s'emploie devant un nom pour désigner l'objet que l'on
veut représenter.


Exemples
Règles d'emploi
se
il se cache
se s'emploie devant les verbes pronominaux. Il peut être remplacé par me
te nous vous.
s'
il s'en va
s' s'emploie devant les verbes pronominaux commençant par une voyelle :
être...
ce
ce travail est long
ce sont les nôtres.
ce s'emploie :
- devant un nom
- devant un pronom relatif : qui, que, dont
- avec l'auxiliaire être pour les tournures de mise en relief
- dans l'expression pour ce faire
c'
c'est la vérité
c' s'emploie uniquement avec le verbe être.

Un moyen simple pour savoir lequel utiliser est
d'essayer de remplacer le ce par cela ou celui. Si c'est possible alors
c'est "ce". Dans le cas contraire, c'est "se".
exemple : C'est beau => cela
est beau...
Différence entre et /
est

et et est ne sont pas vraiment des homophones car leur son
est légèrement différent. Cependant, il peut être facile de les
confondre à l'écrit. Ici aussi, il faut examiner leur fonction
grammaticale.
et est avant tout une conjonction de coordination,
c'est-à-dire qu'il est utilisé pour faire la liaison entre les mots et
les idées : le chien et le chat.
est est un verbe venant de être. On le retrouve dans la
conjugaison : il est.
Une première façon pour les différencier est de mettre la phrase au
passé : est devient était tandis que et ne change pas.
Une deuxième méthode consiste à remplacer et par ou : le chien ou
le chat. Si la phrase n'a plus aucun sens, c'est sûrement qu'il s'agit
de est.
Différence entre s'est / c'est
Pour bien faire la différence, on peut mettre la phrase à la première
personne du singulier. Dans ce cas, s'est devient me suis
tandis que c'est lui ne bouge pas.
C'est un garçon. => C'est un
garçon.

Il s'est levé de bonne heure.
=> Je me suis levé de bonne heure.

On peut aussi mettre la phrase à la forme négative. C'est devient
ce n'est pas et s'est devient ne s'est pas :
C'est un garçon. => Ce n'est
pas un garçon.

Il s'est levé de bonne heure.
=> Il ne s'est pas levé de bonne heure.

Différence entre on et ont
Pour faire la différence entre on et ont, il faut mettre la phrase au
passé
. On reste on puisqu'il s'agit d'un pronom personnel comme il
ou nous. Ont devient avaient.
On est venu ce soir.
==> Nous sommes venus ce
soir.


Ils ont trouvé la route.
==> Ils avaient trouvé la
route.

Différence entre leur et leurs
D'une manière générale, leur, pronom personnel invariable, reste
invariable devant un verbe. Si on peut remplacer leur par lui
alors leur reste invariable.
Il leur reste un dernier espoir.
==> Il lui reste un dernier
espoir.

Mais leur peut aussi être un adjectif possessif. Dans ce cas, il s'accorde
en nombre devant un nom pluriel : leurs
.
Leur table est belle.
Leurs chaises sont jaunes.
Leur peut aussi être un nom commun dans l'expression "le leur" pour
désigner ce qui est à eux. On dit aussi "être des leurs" pour désigner
une appartenance à un groupe ou à une famille.
Le voisin a aussi un chat mais
le leur est gris.

Il est des leurs.
Différence entre notre et nôtre
Notre est un adjectif possessif et peut être facilement remplacé
au pluriel par nos
.
Nôtre est un pronom possessif. Il est toujours précédé d'un le
ou d'un la
. Au pluriel, il devient nôtres.
Bref, le plus simple est de mettre la phrase au pluriel pour savoir s'il
s'agit de notre ou nôtre.
Un membre de notre famille
==> un membre de nos familles

c'est le nôtre
==> ce sont les nôtres
Note : idem pour votre et vôtre
Différence entre ou et où
Ou peut se remplacer par ou bien. permet de poser
une question
ou de ne pas répéter un mot. Où précise un lieu. Il ne
peut pas être remplacé par ou bien.
En terme de grammaire, ou est une conjonction de coordination. Où peut à
la fois être un pronom interrogatif ou un pronom relatif.
Veux-tu du café ou chocolat ?
==> Veux-tu du café ou bien
du chocolat.


Où vas-tu ?
==> On pose une question : Où
pronom interrogatif

L'endroit où tu vas est très
joli.

==> On précise le lieu : Où
pronom relatif. Où remplace l'endroit.

Différence entre roder et rôder
On rode une voiture, une nouvelle formule, on l'essaie et on la
met au point.
Mais on rôde près d'une banque, c'est-à-dire qu'on tourne quelque
part pour préparer un mauvais coup. On devient ainsi un rôdeur.
Pour faire la différence entre les deux, essayez de voir si le sujet est
plutôt un rôdeur ou si c'est quelque chose que l'on met au
point.





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الإثنين يوليو 05, 2010 7:06 am
Autres
règles
Le
pluriel

Les couleurs
L'accord des couleurs est loin d'être simple en français. On peut
cependant distinguer les cas suivants.
En règle générale, lorsque la couleur est un adjectif, il s'accorde en
genre et en nombre avec le nom.
des étoffes
des souris vertes
Là où ça se complique, c'est lorsque l'adjectif en question est un nom
commun qui est pris adjectivement. En gros, l'adjectif est aussi un nom.
À ce moment-là, la couleur est invariable.
des yeux marron (de la couleur
du marron)

des étoffes orange (de la
couleur de l'orange)

On peut citer d'autres noms qui peuvent servir à exprimer une couleur et
qui sont invariables : abricot, ardoise, argent, azur, brique, bronze,
café, caramel, champagne, chocolat etc.
Cependant, pour faire simple, certains noms sont assimilés à des
adjectifs et s'accordent donc avec le nom qualifié. Ce sont : mauve,
pourpre, rose, écarlate, fauve et incarnat
.
des étoffes mauves
Deux adjectifs employés pour désigner une seule couleur sont
invariables.
des yeux bleu clair (sans trait
d'union)

Si ce sont deux adjectifs de couleur, on met un trait d'union.
des yeux bleu-vert
On écrit "des balles rouge et bleu" si chaque balle comporte du
rouge et du bleu. Mais, on écrit "des balles rouges et bleues"
s'il y a des balles uniquement rouges et des balles uniquement bleues.
Le pluriel des mots composés
On appelle mot composé, un nom formé de deux ou trois mots : un
bateau-mouche, une pomme de terre.
D'une manière générale, dans un mot composé, seuls l'adjectif et le nom
peuvent prendre la marque du pluriel. Les autres éléments (verbe,
adverbe, préposition) restent invariables.
Pour former le pluriel d'un mot composé, il faut identifier la nature de
chacun de leurs éléments.
Le verbe, l'adverbe et la préposition sont toujours
invariables dans un nom composé. L'adjectif s'accorde
toujours.
des sèche-linge
des arcs-en-ciel
des basses-cours
En général, le nom s'accorde mais il peut ne pas s'accorder en
fonction du sens.
des lave-vaisselle : on lave
la vaisselle

des tire-bouchons : on retire
des bouchons


Mots composés
Exemples
nom + nom
un chou-fleur
des choux-fleurs
adjectif + nom
une longue-vue
des longues-vues
nom + préposition + nom
une pomme de terre
des pommes de terre
verbe + nom
un porte-bagages
des porte-bagages
un tire-bouchon
des tire-bouchons
un porte-parole
des porte-parole
adverbe + nom
une avant-garde
des avant-gardes

Le pluriel des jours de la semaine
Doit-on mettre la marque du pluriel aux jours de la semaine ? Tout bon
commerçant s'est un jour posé cette question très légitime. Eh bien oui!
Lundi, mardi etc. sont des noms communs soumis aux mêmes règles
d'accord que les autres noms communs. On écrit : tous les lundis et
tous les dimanches.

Sauf que vous vous doutez bien que ça ne peut pas être aussi simple...
Lorsque ce même jour est suivi par une description de temps, la semaine
par exemple, il faut compter le nombre de ces jours dans cet intervalle
de temps. Dans une semaine, il n'y a qu'un seul lundi et on écrit donc :
tous les lundi de chaque semaine.
Vous suivez toujours ? Donc si on passe au mois, il y a cette fois
plusieurs jours qui sont un lundi dans un mois et on écrit donc : La
réunion a lieu les premier et troisième lundis de chaque mois.
Au
passage, vous remarquerez que premier et troisième sont au singulier
puisqu'il n'y a qu'un premier et un troisième dans un mois. Mais les
deux ensemble sont un pluriel.
C'est dans ce même ordre d'idée qu'on écrit : tous les dimanches
matin
et tous les mardi soir de chaque semaine. Dans le
premier cas, matin est au singulier car il n'y a qu'un seul matin dans
une journée par contre il y a plusieurs dimanches. Dans le deuxième cas,
il n'y a qu'un seul mardi dans la semaine d'où le singulier et il n'y a
toujours qu'un seul soir dans un mardi.








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Les nombres
Les nombres
Il n'est pas toujours bien facile d'écrire un nombre en français. On ne
se rappelle jamais bien où on met un trait d'union ou un s. Voici le
rappel de toutes ces règles.

Les mots simples
Certains nombres s'écrivent simplement avec un seul mot. On parle de mot
simple. Ceux-ci sont :
* les nombres jusqu'à 16 : zéro,
un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze,
treize, quatorze, quinze et seize.

* puis les dizaines jusqu'à 60 :
vingt, trente, quarante, cinquante et soixante.

* et enfin 100 et 1000 : cent et
mille.

Les mots composés
Lorsqu'il n'est pas possible d'écrire un mot simple, on compose les
nombres avec plusieurs mots simples. Se pose alors le problème du trait
d'union.
Prennent un trait d'union tous les nombres composés inférieurs à 100 ne
se terminant pas en 1 sauf 81 et 91 :
* dix-sept, quarante-huit...
* quatre cent cinquante-trois...

Pour les nombres se terminant en 1, on ajoute la conjonction et :
* soixante et un
* soixante et onze
* cinquante et un
81 et 91 sont écrits avec un trait d'union:
* quatre-vingt-un
* quatre-vingt-onze
Particularités locales
En Belgique et en Suisse, 70 et 90 se disent septante et nonante. Le
reste des nombres suit ensuite les mêmes règles :
* septante et un
* nonante-trois
En Suisse romande, on utilise huitante pour 80 dans les cantons de Vaud,
du Valais et de Fribourg et quatre-vingts dans les autres. Quant à
l'ancien français octante, il n'est plus utilisé.
Toutes ces particularités nous viennent de l'ancien français. On ne sait
pas vraiment pourquoi on dit soixante-dix et non plus septante. Une des
explications viendrait du roi Louis XIV.
Une explication poétique est la suivante. Son règne fut très long. Se
sentant vieillir, il ne souhaitait pas changer de dizaine. Alors il
inventa un stratagème pour rester jeune. Il a soixante-neuf ans et
l'année suivante, soixante-dix. Ca fait beaucoup plus jeune que
septante! Par la suite, pour ses 80 ans, c'est simple, il rajeunit
puisqu'il a quatre fois vingt ans. C'est le Roi Soleil tout de même.
Il existe cependant d'autres explications plus concrètes. Dans "Histoire
universelle des chiffres" de Georges Ifrah, on apprend qu'avant, on
comptait sur une base 20. Quatre-vingts est un vestige de cette époque.
Cela a donné aussi l'hôpital des Quinze Vingt (300) pour le nombre de
malades qu'on pouvait y hospitaliser.
Les accords
20 et 100 s'accordent quand ils sont multipliés par un nombre sans
être suivis
par un autre nombre.
* quatre-vingts
* quatre-vingt-trois
* quatre cents
* quatre cent vingt et un
Mille est toujours invariable
* trois mille * dix mille deux
un est invariable en nombre mais pas en genre :
* cinquante et une pages
Millier, million et milliard sont des noms et non des adjectifs.
Ils ne font pas vraiment partie du nombre et laissent place à l'accord :

* quatre cents millions
* deux cent mille
* deux cents milliers
Mille peut s'écrire mil mais seulement dans une date.
* l'an mil quatre cent trois
Certains de ces adjectifs numéraux cardinaux peuvent avoir une valeur
ordinale pour exprimer l'année, le jour, les parties d'un ouvrage, le
numéro d'une rue, le nom d'un souverain... ils restent alors invariables
:
* l'année mille neuf cent (la
1900e)

* le quinze juin (le quinzième
jour de juin)

* la page quatre-vingt (80e)
* le tome deux
* habiter au cinquante-huit
* Louis quatorze, Charles dix...
Le pluriel commence à partir de 2. on écrit ainsi :
* 1,9 point
* 2 points
* 1,9 million
* 2 millions
L'adjectif numéral ordinal
On forme cet adjectif en ajoutant le suffixe "ième" au nombre
correspondant (sauf pour premier et second) :
* trois ; troisième
* quatre ; quatrième
* cent ; centième
* mille ; millième...
Pour les abréviations, on prend les lettres finales. L'abréviation de
"ième" est e sans accent, car il s'agit de la finale :
* 1er = premier
* 1re = première
* 2nd = second
* 2e = deuxième
* 2es = deuxièmes
Contrairement à l'adjectif cardinal, il s'accorde en genre et en nombre
avec le nom auquel il se rapporte :
* les premiers froids... * les
dixièmes jeux Olympiques...

Il prend également un trait d'union dans un nombre composé inférieur à
cent :
* la vingt-cinquième heure...
Recommandation orthographique de 1990
En 1990, L'Académie Française a introduit une réforme de l'orthographe
qui simplifie l'écriture des nombres pas trop grands. Tous les
numéraux composés sont unis par un trait d'union : trois-cent-vingt-quatre.
Mais comme il faut toujours une exception, la voici : cette règle ne
s'applique pas aux noms tels que millier, million et milliard. Pour eux,
il ne faut pas mettre de traits d'union : trente-deux millions
deux-cent-vingt-trois
.
Note : il s'agit de recommandations et ceci n'est en rien obligatoire.
Les euros et les nombres
Désormais, l'euro a remplacé les monnaies nationales de certains pays en
Europe. L'euro est subdivisé en 100 cents. On dit également "eurocent"
pour bien faire la différence avec le "cent" du dollar. Beaucoup plus
couramment, en France, on dit tout simplement "centime" ou "centime
d'euro".
En ce qui concerne l'emploi de la majuscule, les mots "euro" et "cent"
se comportent comme des noms communs ordinaires. Ils ne prennent une
majuscule que s'ils sont en début de phrase. Attention, cette règle
n'est pas valable dans tous les pays. En Allemagne, par exemple, euro
s'écrit toujours avec une majuscule : Euro.
Au pluriel, "euro" et "cent" sont soumis aux règles de la grammaire
française. S'ils varient en nombre, on leur ajoute un s : un euro, deux
euros, cent euros et trois cents... On notera cependant que sur les
billets de banque, euro ne prend pas de s car les règles d'accord du
pluriel des pays où circulent les pièces et les billets ne sont pas
toujours les mêmes qu'en français.
L'euro et les liaisons
Attention à bien prononcer les liaisons avec les euros. Si avec les
francs, on pouvait se permettre d'ignorer les règles d'écriture des
nombres, avec l'euro, ça ne passe plus!
Avec 80 ou 200, pas de problème, on écrit quatre-vingts euros et on
prononce "quatre-vingts-z-euros". De même, on dira "deux cents-z-euros".
Par contre, avec 20 et 100, il n'y a pas de s à la fin du nombre car il
n'est pas multiplié. À ce moment, on prononce "vingt-t-euros"
et "cent-t-euros" et surtout pas de son z.
Note : dans la pratique, on constate que par doute, la plupart des gens
ne font plus la liaison. Mais ce n'est pas une raison pour les imiter.

Astuce pour écrire un nombre dans Word
Pas facile de taper un nombre en toutes lettres : qu'est-ce qui
s'accorde, qu'est-ce qui est invariable, ? ? Heureusement, Word est là
pour vous aider. Il vous permet en effet facilement de transformer un
nombre par son équivalent en lettres.
1. Dans Word, appuyez simultanément sur les touches Ctrl et F9.
2. Dans le champ qui apparaît, saisissez = puis le nombre que vous
souhaitez transformer en lettres.

3. Ajoutez à la suite le paramètre \*CardText.

4. Pressez enfin la touche F9 pour convertir le nombre en lettres.


La ponctuation
Le point
Le point indique qu'une phrase déclarative se termine. On commence
ensuite le premier mot de la phrase suivante par une majuscule.
À l'oral, le point est marqué par une pause et la voix qui
descend.
Il faut bien un exemple.
Le point-virgule
Le point-virgule permet de séparer des propositions indépendantes qui
ont néanmoins une relation logique entre elles. Il n'y a pas de
majuscule après le point-virgule. La pause à l'oral est moins marquée
qu'avec le point.
Il a de la chance ; il s'est mis
à neiger pour les sports d'hiver.

La virgule
La virgule est un séparateur dans la phrase. Elle introduit à l'oral une
courte pause. La virgule s'utilise dans plusieurs cas :
- pour énumérer, on a alors des mots de même nature et de même fonction.
Le dernier terme de l'énumération est séparé par la conjonction et.
- pour mettre en relief et faire ressortir une idée. On sépare ces mots
du reste de la phrase.
- pour mettre en apposition un adjectif.
Il restait là, immobile.
Il passa par toutes les couleurs
: rouge, vert, bleu et jaune.

Placée différemment dans une phrase, la virgule peut en changer le sens.
Regardez l'exemple suivant:
Les élèves, qui avaient oublié
leurs livres, ont été punis. (Tous les élèves ont oublié leurs livres et
tous ont été punis.)

Les élèves qui avaient oublié
leurs livres ont été punis. (Seuls les élèves qui ont oublié leurs
livres sont punis, les autres les avaient avec eux.

Les deux-points
On les utilise pour introduire une citation, une explication ou une
énumération.
Il avait mal partout : aux
pieds, aux mains, aux oreilles, à la tête, et ailleurs. énumération

Il lui a dit : "Ne t'approche
pas!". citation

Je ne suis plus malade, c'est
même le contraire : j'ai faim. explication

Le point d'interrogation
Il permet d'introduire une question.
- Sais-tu quand il va venir ?
Le point d'exclamation
Il termine une phrase exclamative et permet d'indiquer une impression
comme la colère, la surprise, l'admiration, l'étonnement etc.
Vive le Roi !
Les points de suspension
Ils indiquent qu'une phrase est inachevée. On laisse alors au lecteur le
soin de deviner la suite... Après des points de suspension, on met une
majuscule au mot suivant.
Dans un dialogue, les points de suspension indiquent également que
quelqu'un coupe la parole de la personne en train de parler.
- Il aurait dû être là quand...
- Ne dis pas ça, lui
répondit-il.

Les guillemets
Les guillemets permettent de signaler le début et la fin d'un dialogue
lorsqu'une personne parle. Il introduit également une citation et permet
de rapporter les paroles de quelqu'un.
Il était un peu trop "jeune".
Il lui a dit : "Viens voir tout
de suite !".

On appelle guillemet à la française les guillemets « exemple ». Les
guillemets à l'anglaise sont "exemple".
Le tiret
Dans un dialogue, il introduit une nouvelle personne qui prend la
parole.
- Viens par ici, lui demanda
Paul.

- Pourquoi ?
Incises (tirets moyens)
L'incise est utilisée pour expliciter une déclaration. Lorsque l'incise
termine la phrase, le point remplace le tiret fermant.
Il était grand - 1,90 m environ -
mais ne les paraissait pas.

Il était grand - 1,90 m environ.

La majuscule
Les majuscules sont normalement introduites au début de chaque phrase.
Une phrase est toujours terminée par des points : point, point
d'exclamation, point d'interrogation ou point de suspension.
Crois-tu qu'il va venir? Oui,
dans une heure.

On met également une majuscule dans une phrase pour désigner un nom de
personne, des noms propres ou marquer le respect.
- Il est venu avec Robert
- Cher Monsieur
- La France mais le
peuple français.

Les noms de rues, de pays, d'états ou de lieux géographiques s'écrivent
avec des majuscules et des traits d'union.
- Les États-Unis,
la Grande-Bretagne

- Le Lot-et-Garonne
- La mer du Nord
Devant le nom du personnage qu'il qualifie, les mots saint ou la marque
de noblesse de ne prennent pas de majuscule.
- Aujourd'hui, c'est la saint
Patrick.

- Charles de Gaulle
Notre-Dame, nom de la Sainte Vierge, d'une église qui lui est consacrée,
ou d'un lieu, s'écrit avec deux majuscules et un trait d'union. Si pour
une église le complément est autre que la désignation du lieu où elle
se trouve, on lie les divers éléments par des traits d'union.
- Notre-Dame de Paris
- Notre-Dame-de-la-Garde,
Notre-Dame-de-Lorette...

On notera enfin qu'à l'écrit aussi, les accents doivent figurer sur les
majuscules : À, Étant donné que, Être ou
ne pas être... Cette règle est cependant rarement appliquée surtout en
informatique puisque le clavier français ne permet pas de former
simplement le É.

Les parenthèses
Elles permettent de donner des indications supplémentaires au lecteur.
Ces indications ne sont pas importantes pour le fil de l'histoire.
Le RMI (Revenu Minimum
d'Insertion) a été augmenté.

D'autres signes se rapprochant des parenthèses assurent un rôle un peu
différent dans la phrase.
Les crochets [...] permettent d'intervenir dans une citation ou de la
tronquer.
Ils sont venus dire bonjour
[ndlr: en français dans le texte] à leur grand-mère.

Les accolades {...} sont utilisées surtout dans les schémas.
On notera que les parenthèses, les crochets et les accolades sont
souvent utilisés dans les formules mathématiques mais ceci est une autre
histoire...
La typographie
Cette section a pour but de vous expliquer comment écrire correctement
un texte sur un ordinateur. D'emblée, je tiens à vous dire que ces
règles ne sont pas intuitives et surtout qu'elles changent d'une langue à
l'autre. En anglais, ces règles ne sont pas valables. Afin de bien
mettre ces changements en relief, à chaque fois, la règle correspondante
en anglais est indiquée.
Une petite remarque également, en typographie, on dit une espace, il
s'agit d'un mot féminin.
Les signes simples
Les signes simples sont :
- la virgule ,
- le point .
- les points de suspension ...
Règle en français : Pas d'espace avant, une espace après
Règle en anglais : Idem
Les signes doubles
Les signes doubles sont :
- le point-virgule ;
- les deux points :
- le point d'exclamation !
- le point d'interrogation ?
- les tirets - ... -
Règle en français : Une espace avant, une espace après sauf pour le
point-virgule où l'espace est facultative.
Règle en anglais : Pas d'espace avant, une espace après
Note : pour ne pas avoir un signe de ponctuation à la ligne, on
peut utiliser l'espace insécable. On le forme sous Word par la
combinaison de touche [ctrl] + [shift] + [barre d'espace].
Note 2 : les signes doubles sont souvent sources de doute car
leur règle est différente d'une langue à l'autre.
Les guillemets à la française
Les guillemets à la françaises sont le « et le ». Ils peuvent être
formés sur le clavier par les touches [Alt 174] et [Alt 175]. On notera
que la plupart des bons traitements de texte les mettent
automatiquement.
Les guillemets droits sont le classique "...". On les utilise également
en français lorsque l'on veut faire une citation à l'intérieur d'une
autre citation.
Règle en français : Une espace avant, une espace après
Règle en anglais : Pas d'espace avant, une espace après
Les parenthèses et les crochets
- les parenthèses (...)
- les crochets [...]

كود PHP:




Règle en français : Pas d'espace à l'intérieur, une espace à lextérieur








Règle en anglais : Idem
Le trait d'union et l'apostrophe
- le trait d'union -
- l'apostrophe '
Règle en français : Pas d'espace
Règle en anglais : Idem



(FIN)
مفاجأة (مكتبة) القواعد الأساسية للغة الفرنسية اهداء منى ليكوا كلكوا Sita123مفاجأة (مكتبة) القواعد الأساسية للغة الفرنسية اهداء منى ليكوا كلكوا 36_3_11


عفوا
..Zico
لا يعرف كلمة
اسمها مستحيل
مع ارق امنياتى بالتفوق
والنجاح لجميع

(الطلبة)
(وما زلت اذكركم)
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